1. Avec des amies comme ça… (17)


    Datte: 28/07/2018, Catégories: Trash,

    ... : « Hey Mademoiselle ! T’es mouillée ou t’es en chaleur ? Tu veux pas te réchauffer avec ma bite ? » Hélène lui fit un doigt d’honneur : « Casse-toi, connard ! La seule façon que ta queue trouve de la mouille, c’est en te branlant dans une bouteille ! » Le type se débina sans rien dire d’autre. Y avait pas à dire, Hélène était trop badass. Elle me passa la main dans les cheveux assez contente d’elle même : « Eh bien, tu pues beaucoup moins, en fait tu sens même plutôt bon. C’est une première pour toi, non ? Ça te change des bains de boue dans les fosses, non ? — Oui. Merci de m’avoir lavé. » Mais je préférais quand même prendre mes bains à la maison. Il y avait moins de public et les jets d’eau étaient moins violents… Mais vu les circonstances, je ne pouvais pas faire la difficile. « Par contre, t’es trempée. Ça ne va pas le faire non plus de te présenter à tes parents comme ça. — On peut faire brûler une poubelle pour la réchauffer ? proposa Victoria. — Et pourquoi pas une voiture ? Tu te crois en banlieue ? Les keufs rappliqueraient tout de suite. Non, on va juste faire courir la salope jusqu’à ce qu’elle sèche. » Hélène se tourna vers moi : « Tu vois cette propriété. dit-elle en désignant un pavillon avec un grand jardin, tu vas faire du jogging tout autour. Tu ne t’arrêteras que quand tu auras les poils de chatte secs ! — Mais… — Allez ! » Voyant qu’elle n’admettait aucune contestation, je me mis donc à courir. Faire le tour de la maison représentait bien trois cents ...
    ... mètres. Et après ma dure journée, je me fatiguais vite et ralentissais. Mauvaise idée. Je vis Hélène arriver, agitant une grosse branche de bois souple. Elle parvint à mon niveau, et commença à courir juste derrière moi : « Plus vite ! » Et pour bien me faire comprendre qu’elle ne plaisantait pas et s’attendait à une obéissance inconditionnelle, elle commença à me fouetter le dos et les fesses de sa branche ! « AiiiIe ! » Ça faisait un mal de chien, elle me cinglait la peau sans ménagement ! Bien obliger, j’accélérais le rythme de ma course. Victoria et Hélène s’étaient installées chacune à une moitié du parcours et chacune ayant une branche à la main. L’une de bambou qui me donnait des coups secs et méchants, et l’autre avec une tige de houx piquante qui m’éraflait la peau. Elles me faisaient vivre un véritable calvaire. « Allez, plus vite ! » criaient-elles quand je perdais de la vitesse. Elles tentaient de m’encourager, « Pense genre… Rocky ! Pense « Eye of the tiger. » avant de me donner des coups de bâton. Je dus courir une bonne demi-heure à plein pot avant que je m’écroule, derrière le pavillon, victime d’un point de côté. Mes amies me piquèrent de leurs branches alors que j’étais genoux à terre. « Elle marche plus ? — Je crois que les piles sont mortes. » Abandonnant leur branche, elles entreprirent de me tâter du doigt. Je me laissais tomber sous leur pression. « Elle est plutôt sèche non ? — Oui, si ces parents la trouvent encore trop humide, on dira que c’est de la ...
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