Nadine, la vengeance d'une maman (7)
Datte: 28/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Quand j’arrive à la maison, je ne sais pas sur quel pied danser, je suis dans mes petits souliers. Je me suis demandé toute la journée si Maman dormait ou pas hier soir, mais je ne suis pas plus avancé. En pénétrant dans la cuisine, je suis si surpris que je reste cloué sur place. Il faut dire qu’elle a mis le paquet : c’est bien simple, elle ne ressemble plus en rien à la personne que je côtoie tous les jours ; elle est transformée de la tête aux pieds. J’ai l’impression qu’on me l’a échangée contre une version améliorée d’elle-même, une sorte de mère de substitution, comme cela arrive dans certains programmes de télé-réalité. Je m’attends à ce qu’un animateur aux dents blanches déboule sous les applaudissements de la foule et qu’il me confirme que je viens de gagner une Super-Maman de compétition, sans aucun défaut et avec toutes les options ! Mon incrédulité fait sourire ma mère qui boit du petit lait, visiblement satisfaite de son effet. Cherche-t-elle à me déstabiliser ? Que veut-elle prouver ? Alors qu’elle ne porte généralement que des vêtements austères, elle a revêtu une délicieuse robe rouge. Une de ces petites robes estivales qui s’enfilent par les pieds, avec un décolleté élastique que l’intéressée remonte sous les aisselles. Mais il y a un détail encore plus troublant, vraiment surprenant pour qui la connaît bien : elle n’a pas mis de soutien-gorge ! Ses gros nichons sont libres là dessous, les mamelons pointent agressivement droit devant ; ils percent de leur ...
... relief le tissu opaque. Je n’imaginais pas ma mère capable d’autant de désinvolture. Je ne la soupçonnais pas suffisamment sûre d’elle-même pour oser mettre en avant sa féminité de manière aussi ostentatoire. Elle est sexy mais pas vulgaire, ni même provocante. Qu’est-ce qui lui prend ? Elle s’est lavé les cheveux, les a brossés afin qu’ils retrouvent le volume et l’éclat qu’ils avaient perdu depuis qu’elle se néglige. Alors qu’elle ne se maquille jamais, elle a souligné ses yeux avec de l’ombre à paupières, de l’eye-liner. Elle a peint ses lèvres d’un rouge carmin, verni les ongles de ses pieds et de ses mains. Elle est épanouie, son visage rayonne d’une assurance retrouvée. Me fait-elle comprendre, après ce que nous avons traversé, qu’elle s’est reprise en main, qu’elle ira bien maintenant, ou s’agit-il d’autre chose ? Ce fameux fluide qui circule entre nous, je ne l’ai jamais senti aussi présent qu’à cet instant. Ce courant haute-tension qui nous aimante l’un à l’autre n’a jamais été aussi puissant. Nous le percevons tous les deux, et nous ne pouvons pas lui échapper. Pourtant, je reste pétrifié sur place, je n’ose pas prendre les devants. Je suis terrifié à l’idée de mettre un terme à la magie de l’instant, de faire le geste de trop. Maman ne bouge pas non plus, incapable de prendre l’initiative. Le poids de l’interdit nous submerge, nous coupe dans notre élan. Elle craque la première. Elle se précipite vers moi, en tremblant comme un animal terrorisé pris dans les phares ...