Nadine, la vengeance d'une maman (7)
Datte: 28/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... d’une voiture. Elle enfouit son visage au creux de mon épaule, me serre dans ses bras, m’embrasse dans le cou. L’odeur entêtante de son shampoing et de son savon aux amandes me fait tourner la tête. Je lui rend son étreinte, frotte mon bas-ventre contre le sien afin qu’elle n’ait aucun doute sur mes intentions, si jamais elle se posait encore la question. Nous sommes soudés l’un à l’autre, comme deux naufragés qui s’agrippent en pleine tempête. Je la tire par la main, l’entraine derrière moi. Elle se raidit, traine des pieds comme une enfant récalcitrante, dans une posture de petite fille qui a fait une bêtise et qui a peur de se faire gronder. Sauf que c’est elle l’adulte, ce n’est pas moi. Elle continue de lutter pendant que je l’entraine vers le canapé du salon sur lequel je me laisse chuter lourdement. Maman me surplombe, se débat alors que je l’attire pour qu’elle tombe sur moi ; elle me lance un regard inquiet de biche traquée. Tout se passe très vite. Je tire brusquement sur le décolleté élastique : ses gros seins pâles jaillissent, s’échappent de leur carcan, superbes d’abondance. Elle paraît surprise, affolée de se retrouver dépoitraillée devant moi, mais je ne m’arrête pas pour autant. Je tire sur sa robe jusqu’à ce qu’elle tombe à ses pieds. Sans même avoir réfléchi à ce que je faisais, j’ai déshabillé ma mère en deux temps trois mouvements. Ses yeux jettent des éclairs, elle essaye de se cacher les seins avec les mains, son visage est écarlate. — Mais qu’est-ce ...
... qui te prend, bon-sang ? Tu n’es pas fou ? Je suis ta mère, Maxime, il ne faudrait quand même pas l’oublier ! Ses paroles sonnent faux, ses reproches manquent de conviction. J’ai l’impression qu’elle se sent obligée de me faire la leçon, qu’elle cherche à restaurer son autorité de maman, pourtant je perçois, derrière le blâme de circonstance, que mon audace a payé. Je réalise qu’elle est aussi excitée que moi et je suis si stupéfait, si enchanté, que je perds le peu de discernement qui me restait. Je l’attrape par les épaules et la fais rouler moi. C’est une femme. Elle est nue. C’est ma mère. Je la touche partout. Je suis fou. gdvgiibr Elle se tortille dans tous les sens, gigote pour échapper à mon étreinte, me glisse entre les doigts comme une anguille. Je la bloque, capture un de ses seins dans une main, prends l’autre dans ma bouche. Ses gros nichons, enfin à ma disposition, me font perdre la raison. Je lèche l’aréole grumeleuse, aspire le mamelon qui durcit entre mes dents. Je laisse courir ma main sur son ventre et je la glisse à l’intérieure de sa petite culotte (de pute) rouge. Elle gesticule toujours autant. Je lui empaume fermement la motte, replis mes doigts dans son vagin ; je suis sûr qu’elle elle ne dort pas cette fois. Je la tète, suce son sein tout en lui triturant la chatte. J’enfonce mes doigts tout au fond. — Non Maxime, arrête, c’est de la folie, il ne faut pas… c’est mal… nous ne pouvons pas faire ça… c’est vraiment mal ! Maman peut dire ce qu’elle veut, ...