Je dévergonde ma mère... (5)
Datte: 29/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... plus grosse que sur l’écran. Mais ne t’inquiète pas, je ne suis pas choquée. TU m’as expliqué que tu étais toujours... dur et que tu avais des problèmes deslip. Hi hi hi.» « Merci de ta compréhension Maman. Ça fait plaisir de pouvoir tout te dire et de ne pas me sentir jugé. SI tu savais comme je t’aime ! Maintenant, je crois qu’on peut se détendre. » Je démarrais vivement, mais en souplesse grâce au couple du V8. Ma mère soupira et vint se lover contre mon épaule. Je changeai alors la musique et enclenchai un bon Placebo. Ce qui eut pour effet de me faire pousser un peu sur l’accélérateur, conduite parfaitement autorisée sur les autoroutes allemandes. Nous approchâmes rapidement les 180km/h. Le V8 ronronnait discrètement derrière « The bitter end ». Rien qui m’aide vraiment à débander. Je sentais ma mère qui me serrait de plus en plus. La vitesse lui faisait de l’effet. « Hmmm les belles bagnoles et les beaux mecs, moi ça m’excite. Et elle m’embrassa tendrement dans le cou, en passant sa main sous ma chemise, au niveau des pecs. Son autre main tata mon biceps. Et elle s’extasia. Tu es si musclé mon amour. Tu es dur de partout. Hi hi. D’ailleurs on dirait que ça ne s’arrange pas du côté de ta... raideur. Tu es monté comme un cheval mon fils. C’est impressionnant. » dit-elle en passant inconsciemment sa langue sur ses lèvres. « Oui, il faudrait que je me soulage. Mais en conduisant c’est un peu dangereux. Pourtant il faut bien trouver une solution avant d’arriver. Je suis ...
... désolé Ma petite Maman chérie de t’embêter avec mes problèmes, mais tu pourrais peut-être m’aider un peu... » « T’aider ?... Mais mon bébé comment... C’est un peu... » « Comme ça ! » dis-je. Et je pris sa main droite et la posai fermement sur ma queue. Un geste d’homme déterminé qui la surprit sûrement. Avant qu’elle ait pu réagir, je montai et descendai lentement la main de Maman sur ma tige, comme pour lui montrer comment mebranler. Elle soupira bruyamment, tenta de parler mais rien ne sortit de sa bouche. Quand je retirai ma main, elle continua en accélérant un peu. Ses dernières défenses venaient de céder. A cet instant je sus qu’elle était à moi. Sa tête était toujours posée sur mon épaule et elle murmura : « OK, mais c’est pour te rendre service et nous n’en parlerons à personne. Oh mon grand, quelle grosse queue tu as ! Tu es un homme si viril. Tu es bien plus gros que ton père. Tu ne dois pas tenir de lui. Regarde ! Je n’arrive même pas à en faire le tour avec ma main. Ton sexe mon bébé, est un cadeau du ciel. C’est la plus belle chose que j’ai vue de ma vie ! Et puis le tenir comme ça dans ma main, le sentir si dur et si chaud, c’est merveilleux. » « Tu sais mon Amour de Maman, si tu veux, tu peux y mettre les deux mains. Avec mon gros calibre, tu te fatigueras moins ». « Ah oui tu as raison. » Et elle se pencha un peu plus sur moi pour rajouter sa main gauche sur ma longue pine. Mon gland, gros comme une mandarine, dépassait encore de ses doigts lorsqu’elle coulissait ...