Je dévergonde ma mère... (5)
Datte: 29/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... vers le bas. « Laisse-toi aller mon Amour, Maman va te faire du bien. » Elle positionna sa tête au-dessus de mon chibre et laissa couler un filet de bave sur le sommet. « Voilà, ça glissera mieux mon poussin, Maman va bien s’occuper de ton gros zizi. » Elle reprit ses va-et-vient et cracha encore sur mon gland. Je tentais de me concentrer un peu sur la route en poussant à nouveau le volume. Mais je sentais ma mère s’activer sur mon zob. J’étais comme dans un rêve. J’avais réservé une suite au Golf Hotel Bauernhof, à 20 kilomètres de Duesseldorf. C’est un hôtel de luxe que j’utilise souvent pour baiser des filles que je ne veux pas ramener chez moi. Les chambres sont construites dans d’anciennes étables. C’est un concept très original, car dans ce décor très rustique, tout le confort moderne est soigneusement intégré. Ainsi, alors que nous roulions vers le Bauernhof, dans la suite 101, la chaîne hi-fi BO distillait déjà un petit Jazz funky en fond sonore. Le Bolinger et les coupes prenaient le frais dans un grand bac de glaçons. Bien sûr, le Jacuzzi, qui trônait au milieu de la chambre, avait été réglé à 30C. Je n’avais rien laissé au hasard. Avec la complicité du concierge de l’Hôtel, qui connaissait mes goûts en la matière. Nous étions presque arrivés, lorsque je sentis la jouissance se pointer doucement. Maman ne parlait plus depuis un moment. Par contre sa respiration était lourde et rythmée par les mouvements de ses mains. Je décidai de baisser la musique. « Tu es ...
... super ma chérie (c’était la première fois que je lui donnais un petit nom de femme, et non de Maman.). Tu es vraiment douée avec tes mains. Je sens que ça monte. Je vais me garer pour ne pas en foutre partout. » Pendant que je prenais à gauche dans un chemin de terre, ma mère lâcha ma queue d’une main pour chercher un kleenex dans son sac. La pauvre ! Que comptait-elle faire avec un malheureux mouchoir ? Je tirai le frein à main, couchai légèrement le siège en arrière et lui dis : « Allez montres moi ce que tu sais faire Maman. Montre-moi la femme qui est en toi. Pas la bourgeoise. L’autre. » « Oui, je vois à quoi tu penses. C’est vrai que je peux être aussi... » Attente interminable... « J’admets que je suis un peu... parfois... Parfois je suis une petite cochonne, voilà ! Mais pas avec tous les mecs. Il faut que je sois inspirée. » dit-elle avec un regard de salope confirmée. « Et moi je t’inspire ? » parvins-je à peine à souffler. « Oh oui ! Je n’y pensais pas parce que tu es mon fils mais c’est vrai que tu es si beau. Et ta... ta bite est si grosse... Je suis tellement excitée. Je ne devrais pas te dire ça, mais je suis toute mouillée moi aussi. Et j’ai envie de te voir éjaculer. Vas-y mon chéri ! Gicle pour moi ! Gicle pour Maman !» Cette dernière demande m’acheva : « Ooooooooh Maman, oui je t’aime, continue. J’aime que tu me branles à deux mains. Je vais venir. Oh oui continues plus vite. Comme ça ouuuuuiiiiii, je jouiiiiiis ! » LE premier jet de sperme passa largement ...