Descente bi en candaulisme
Datte: 30/07/2018,
Catégories:
hh,
hbi,
cocus,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
hféminisé,
hsoumisaf,
... ramone comme tu ne l’as jamais fait ?— Je…— Je crois que tu veux être cocu. Je crois que tu veux que d’autres hommes me baisent comme une chienne. Je crois que tu veux que des hommes membrés comme des ânes mettent leur grosse bite tout au fond de la petite chatte de ta femme. Je crois que… Ooooh ! Mais qu’est-ce que c’est que ça ? J’étais en train de jouir dans sa main, alors que pourtant elle ne m’avait pas branlé longtemps, révélant ainsi à ma femme à quel point ses mots m’excitaient. — Eh bien, si c’est comme ça, nous verrons bien ce que les jours prochains nous réservent… dit-elle en allant dans la salle de bain pour se démaquiller et se préparer à dormir. J’avoue qu’après cet échange, j’eus bien du mal à trouver le sommeil… Excité… Honteux… Inquiet… La semaine suivante, alors qu’elle était de sortie un soir, elle m’envoya un MMS me disant « Tu as vu ce morceau ? » et me montrant une queue imposante, posée sur une main, celle de ma femme à en juger par la bague de mariage que je reconnus. J’en bandais comme un fou, mais étais également inquiet. Elle rentra avec un grand sourire, en m’embrassant longuement, en jouant de sa langue avec la mienne beaucoup plus longtemps que d’habitude. Ce baiser fut conclu par ces mots : — Tu aimes le goût de sa bite dans ma bouche ? Il y a joui, tu sais… Alors, tu es content, mon cocu ? Content que ta femme ait sucé une grosse bite dans les toilettes d’une boîte jusqu’à ce qu’il décharge son foutre dans ma bouche ? Pour toute réponse, je ...
... me remis à l’embrasser, la queue en feu, très excité. Elle me raconta alors sa soirée en détail, comment elle l’avait laissé la draguer, et comment… elle lui avait dit qu’elle allait envoyer une photo de sa bite à son mari, pour qu’il comprenne à quel point il allait être cocu. Comment cela avait excité cet inconnu, qui avait utilisé la bouche de ma femme comme un trou à bite. Elle m’autorisa à me branler tout en lui faisant un long cunni ce soir-là. Elle me raconta encore et encore comment elle avait adoré cette bite, me disant qu’elle aurait bien aimé l’avoir dans la chatte… Se faire pomper par ce gros dard… Et moi, je jouissais en l’écoutant et en la léchant. Le jour suivant, elle décida de sortir sans ses copines, sans me dire où elle allait, mais en s’habillant très, très sexy, voire vulgaire : une mini-jupe très limite, des bas, des talons hauts, un chemisier à moitié transparent et une petite veste. Je distinguai néanmoins lorsqu’elle se baissa pour ramasser son sac la présence d’un petit tanga en dentelle. Elle m’abandonna ainsi en me disant juste : — Ce soir, tu seras vraiment cocu, mon chéri… Inutile de vous dire que j’attendais son retour avec impatience. Elle revint au milieu de la nuit, visiblement fatiguée, épuisée, les cheveux un peu en pagaille ; une odeur de sexe et de luxure flottait dans l’air. Elle ne me dit rien, s’approcha de moi, m’embrassa à pleine bouche. Y avait-il un goût de sperme ? Je crus en déceler, en tout cas. Elle m’allongea sur le lit et me ...