1. Descente bi en candaulisme


    Datte: 30/07/2018, Catégories: hh, hbi, cocus, hsoumis, fdomine, humilié(e), hféminisé, hsoumisaf,

    ... lèvres de son sexe et contre son clito, avec une énorme envie de plonger ma queue dans sa chatte, mais cela m’était interdit. Cela l’excitait drôlement, et elle jouit soudainement de ces frottements, ce qui me fit jouir à mon tour, sans prévenir. Nous jouissions tous les deux, mais elle me fit revenir à la réalité brusquement en m’administrant une gifle magistrale : — Petite pute, qui t’as autorisé à jouir ? Sur ma chatte en plus ! Sans plus de cérémonie, elle m’agrippa par les cheveux et me fit me baisser jusqu’à ce que mon visage soit contre sa chatte gluante de mon sperme. Elle s’essuya avec mes joues, mon nez, ma bouche, et acheva en me faisant manger mon sperme. Les jours suivants, ce type de scénario se répéta. Je passais le plus clair de mon temps à la maison dans une tenue de femme sexy, toujours en bas, porte-jarretelles, string… Je n’avais plus accès à la chatte de ma femme, hormis quand elle me faisait se frotter à elle ou lorsqu’elle me demandait de longs cunnilingus et anulingus. Oh, ça oui ! Elle adorait que je lui lèche longuement son petit trou ; cela lui faisait un effet dingue… Cela dura plusieurs mois. J’avais quand même le droit, de temps en temps, de la baiser, d’enfin glisser ma bite au fond de sa chatte ; mais quand je le faisais, elle m’humiliait, me disait que finalement elle ne sentait pas grand-chose. Parfois elle riait, parfois elle m’obligeait à jouir en elle en moins d’une minute sous peine de punition. Et finalement, elle se mit régulièrement à ...
    ... évoquer le fait qu’elle devrait peut-être aller voir ailleurs, qu’elle avait le droit de se faire enfin bien baiser, qu’elle méritait une grosse bite en elle, plus grosse en tout cas que la mienne… Cela m’excitait beaucoup, et je jouissais beaucoup lorsqu’elle en parlait. Bref, j’avais à domicile une Maîtresse qui m’humiliait, me forçait à me vêtir comme une salope, me baisait régulièrement le cul avec un gode en me traitant de tous les noms, m’autorisait de moins en moins à glisser ma queue dans sa chatte, me frustrait de plus en plus, me faisait jouir en nettoyant mon sperme, et se mettait à me parler d’autres hommes qu’elle aimerait bien mettre dans son lit ou ailleurs… Ce qui se fit progressivement. Séverine se mit à sortir de plus en plus souvent avec ses amies alors que je restais à la maison. Les premiers temps, elle me racontait qu’elle se laissait draguer gentiment mais n’allait pas plus loin. Une nuit, en rentrant, elle me parla d’un mec qui l’avait draguée dans la soirée, tout en me caressant la queue distraitement : — Si tu avais vu comme il avait envie de moi… Ça se sentait, ça se voyait. À un moment, nous étions dans un coin sombre, à discuter ; tu crois que j’aurais dû toucher sa bite, pour voir s’il bandait pour moi ?— Séverine… tu…— Tu crois que j’aurais dû l’emmener dans les toilettes, me mettre à genoux devant lui et lui sucer la bite ?— Je crois que… Tu… tu en as envie ?— Tu crois que j’aurais dû le déshabiller et m’asseoir sur sa grosse bite pour qu’il me ...
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