Agathe a su me surprendre grâce à un jeu de dés
Datte: 30/07/2018,
Catégories:
f,
h,
jeunes,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
jeu,
occasion,
En classe prépa pour faire plaisir à mes chers parents, je revenais ce week-end dans la maison familiale, une belle et grande demeure bourgeoise. J’y avais ma chambre, très grande avec sa salle de bains, presque un petit appartement. La maison disposait de cinq chambres du même confort, alors, comme nous habitions en province, mes parents aimaient recevoir leurs amis et profiter de cette grande surface habitable pour les accueillir chaleureusement. Justement, un couple que j’avais vu deux ou trois fois venait passer ce week-end chez mes parents. Ma mère m’avait dit qu’il serait accompagné de leur fille, Agathe qui avait à peu près mon âge, peut-être un peu plus jeune. Elle faisait ses études dans un établissement très catholique où elle y recevait une éducation stricte. À eux trois, ils représentaient un portrait assez classique de nos fréquentations familiales. Les Leroy arrivèrent le samedi après-midi, je décidai de ne pas descendre tout de suite, je voulais profiter de ma chambre, de mes bouquins, de mes objets, de regarder mes quelques décorations murales. J’avais notamment l’affiche en petit format du film« Emmanuelle » collée au mur, au-dessus d’un fauteuil en rotin. Au décès de ma grand-mère, j’avais récupéré ce fauteuil et mon idée de le marier avec ce poster amusa la sainte famille. Quelquefois, j’aurais bien aimé qu’une fille prenne la même pose dans mon fauteuil, mais l’occasion ne s’était jamais présentée. Je rejoignis tout le monde dans le salon, un bonjour à ...
... chacun avec évidemment la bise de circonstance, Agathe reçut aussi ma bise, sa joue me parut très douce quand mes lèvres l’effleurèrent. Les conversations d’usage s’installèrent et j’en profitais pour détailler Agathe. Elle était une petite boulotte avec un visage rond et sympathique, je remarquais une poitrine assez forte, un ventre avec un pli grassouillet. Je me prenais au jeu et regrettais qu’elle soit assise quand j’étais entré dans la pièce, car je ne pouvais voir son séant. Je m’interrogeais : comment était le cul d’Agathe ? Gros, imposant, débordant ? En tout cas, il ne pouvait être un petit cul dont les deux fesses tiendraient dans chacune de mes mains, il devait comme on dit, se tenir là. Assise face à moi, elle était vêtue d’une jupe assez longue pour couvrir ses genoux, je ne pouvais malheureusement pas espérer apercevoir un petit quelque chose d’érotique comme la peau d’une cuisse ou le début de son entrejambe. Malgré cela, par moment, mon sexe se contractait, émettait comme un signal inconscient suggérant qu’une ouverture était possible, mais à ce stade difficile de savoir pourquoi. Peut-être le fait de l’imaginer toute nue alimentait mon cerveau, côté sexuel ? Je l’observais, prenant tout mon temps, je remarquai qu’elle était agréable et participait à la conversation poliment et toujours juste à propos, une future dame ès spécialiste en conversation mondaine. Elle étudiait dans un établissement catholique où elle trouvait sérieux et approfondissement dans ses ...