1. Agathe a su me surprendre grâce à un jeu de dés


    Datte: 30/07/2018, Catégories: f, h, jeunes, grosseins, groscul, poilu(e)s, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation jeu, occasion,

    ... choquer. — D’accord, de toute façon, nous n’allons pas nous coucher tout de suite, je veux profiter d’une soirée enfin libre sans parents ni bonne sœur. Son accentuation sur le mot libre et son ton me laissaient perplexe, avait-elle aussi envie d’une soirée agréable, voire aussi coquine.— Alors, prête pour une leçon de maths ? J’avais disposé un bloc de papier et un crayon sur la table du salon. Agathe fit la moue. — Bof, une leçon, un cours magistral, cela ne m’inspire pas trop, tu avais parlé d’une application, j’espérais du concret. Un peu décontenancé, je lui dis : — J’ai préparé un jeu de deux dés, tu sais que la mère de la probabilité est le hasard.— Qui est sa fille, l’opportunité ? enchaîna-t-elle. Oh que oui ! et mon opportunité du moment s’appelait Agathe, mais je ne pouvais le dire, alors j’ai dévié : — Pourquoi pas ? En maths, seuls les chiffres et les pourcentages sont les vraies réponses, ainsi, pour que le 1 apparaisse sur un dé, il a une chance sur six. Elle approuva. — Comme nous avons deux dés, si nous décidons que faire un double est gagnant, d’après toi, à chaque lancer, quelle est la chance de réussite de faire un double ?— C’est simple, me répondit-elle, il y a six combinaisons possibles pour chaque dé et comme il y a deux dés, il existe 6 fois 6, 36 combinaisons et comme il existe six doubles possibles, la probabilité de faire un double est de 36 divisé par 6, soit 1 chance sur 6 à chaque lancer. Elle me regardait droit dans les yeux, fière de sa ...
    ... réponse et surtout fière de m’avoir déstabilisé. — Bravo, c’est bien, tu maîtrises.— Je n’ai pas de mérite et tu sais pourquoi ? Je fis non de la tête en me doutant qu’elle devait avoir fait le programme la semaine passée. Elle enchaîna : — La semaine dernière, à l’institut, nous avons joué aux dés avec mes amies dans le dortoir et celle qui faisait un double donnait un gage aux autres, enfin, pour un double 1, un gage à une personne, pour un double 2, deux gages, etc. Je restais muet puis ma question ne put être retenue : — C’était quoi, les gages ? D’une voix presque professorale, elle répondit : — Comme d’habitude avec ce genre de jeu, même si nous n’étions qu’entre filles, cela tournait beaucoup autour du sexe, je ne te choque pas, j’espère ?— Pas du tout, tu ne me choques pas, au contraire, c’est plutôt marrant de mélanger les maths, le jeu et les petits plaisirs. Raconte-moi.— Nous n’avons pas joué longtemps, car une surveillante est arrivée. Les gages étaient soit de simples questions pour savoir où en étaient les unes et les autres avec les garçons, ce qu’elles avaient déjà fait ou alors le classique était de retirer un vêtement ou de mimer un acte sexuel. Rien d’original, tu as dû toi aussi participer à ce genre de jeu ?— Sûrement, mais où en étiez-vous quand la surveillante est arrivée ?— Nous étions cinq, une en soutien-gorge, une autre nous avait mimé comment elle se masturbait, c’était très réaliste, elle avait même choisi de se mettre à quatre pattes…, je continue ? ...
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