1. Première exhibition– Une infirmière en Beauce 11


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Première exhibition– Une infirmière en Beauce 11 Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur chez HDS), racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance. Bien entendu ce texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés. Hervé a décidé d’offrir à Valérie une panoplie de femme libérée. Après avoir écumé les magasins et boutique sexy de Montparnasse et de Saint Germain à Paris, le couple se rend rue de la Gaité pour acheter différents accessoires dans un sex-shop. Valérie doit se plier aux exigences de son mari qui demande à la vendeuse du magasin de lui descendre sa culotte, à sa plus grande honte, et de lui introduire des boules de geisha dans les muqueuses de sa fente. De retour à la gare Montparnasse, alors que le couple attend le départ du train pour Chartres, Valérie se laisse surprendre à jouir dans un wagon devant des lycéens ébahis. Le train une fois en route, les garçons se lèvent et passent dans une autre voiture. Valérie est soulagée, ses couleurs lui reviennent. Elle regarde son époux d’un œil torve. • Il faut croire que ça te plaît que je montre mes cuisses. • Oui, je l’avoue, mais tu n’as pas seulement montré tes cuisses à ces garçons, tu t’es fait jouir devant eux. Ils ont vu ta main dans ta culotte et ta mouille qui dégoulinait ma petite salope adorée. • Tu vois comme tu me traites ! Tu ne m’aimes plus j’en suis sûre ! Hervé enlace sa douce moitié, la bécotant dans le cou, lui ...
    ... susurrant des mots doux. • Ma chérie, bien entendu que je t’aime. Encore davantage chaque jour, où tu te libères un peu plus et où tu deviens l’épouse que j’ai toujours désirée. C’est vrai que cela m’excite lorsque tu es sexy devant d’autres hommes. • Ah ! C’est bien un truc d’homme répond Valérie en riant • Puisque ta culotte est trempée, retire-la lui propose Hervé • Tu es fou ! Je ne vais pas me déshabiller dans le train et me balader les fesses nues en pleine ville • Allons, il n’y a personne dans le wagon et tu n’as pas à te baisser jusqu’à ce que nous arrivions à la maison En maugréant à moitié, Valérie retire sa culotte qui est trempée. Hervé lui prend des mains et la renifle avec volupté. Les boules de gesha glissent hors de la chatte inondée et apparaissent sur le siège de la banquette entre les cuisses de Valérie. Celle-ci est affolé, mais Hervé s’en empare prestement et les enferme dans la boite en plastique d’origine qu’il avait conservée dans sa poche. Prenant des mouchoirs en papier et regardant de tout côté si un voyageur ne se pointe pas, Valérie s’essuie l’entrecuisse, tout en faisant des reproches à son mari. • Tu vois où ta perversité nous entraine. Je suis morte de honte de tout ce que tu me fais subir • Mais tu n’arrêtes pas de jouir ma chérie ! Avoue que tu prends ton pied. Ne me dis pas que le fait de te masturber devant ces étudiants ne t’a pas réjoui, tu étais ivre de plaisir • Oh ! Tu es un monstre Le train arrive en gare de Chartres. Hervé retient ...
«123»