1. Première exhibition– Une infirmière en Beauce 11


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... son épouse pour que la masse des voyageurs s’amenuise. Enfin, lorsque le flot des usagers s’est estompé, ils descendent de leur wagon et se dirigent vers la sortie. Hervé marche juste derrière elle, admirant la croupe bien formée qu’épouse étroitement le cuir de la minijupe. Il est vrai que si elle se penche un petit peu, la chair blanche du haut des cuisses apparaît au-dessus de la lisière des bas et on voit même le renflement des fesses nues. À un moment, son épouse ayant trébuché, Hervé a pu entrapercevoir l’abricot dénudé entre les rondelles du cul nu. Cela a accentué encore l’érection commencée au sex-shop et il a bien du mal à marcher pour conduire son épouse jusqu’au parking où il a garé leur automobile. Profitant que son véhicule soit garé au troisième sous-sol et qu’aucune voiture ni aucun quidam ne soient susceptible de venir troubler leur tranquillité, sitôt dans la voiture, il dégrafe rapidement son pantalon, sort du slip la verge dure comme un morceau de bois et supplie sa femme de le soulager. Valérie nous l’avons dit, malgré son a priori, est une reine de la fellation. Elle a toujours adoré ça depuis ses premiers émois avec Serge lorsqu’elle avait seize ans. Elle s’applique à lécher savamment la queue bien raide de son mari, en la faisant coulisser entre ses lèvres jusqu’au plus profond de son gosier. Elle s’aide de ses mains fait coulisser le bâton de chair entre ses doigts habiles, et titille de la langue le méat et le gland congestionnés. Le foutre trop ...
    ... longtemps emprisonné vient frapper le fond de la gorge de Valérie qui avale sans sourciller la semence de son mari. Celui-ci, encore surexcité par cette journée libidineuse, renverse son épouse et fait basculer le dossier du siège passager en couchette. Il n’a aucun mal à attendre la fente vulvaire, car elle est déjà presque à poil, tout du moins le bas. Il entreprend de lui bouffer la chatte, enfonçant son nez dans les chairs gonflées par le bouillonnement des sens et léchant le moindre recoin du puits d’amour, mordillant légèrement les grandes et petites lèvres, suçant le clitoris qui n’en peut plus d’être sollicité depuis des heures. Valérie hurle à présent sa jouissance, les orgasmes défilent sans interruption, alors que sa muqueuse éjecte un jus abondant, trempant ses cuisses, ses jambes et le siège en tissu du monospace. Hervé contemple sa femme presque nue avec une certaine délectation. Dans ses rêves les plus fous, il n’espérait pas que sa Valérie arriverait un jour à se livrer ainsi devant ses yeux, la conque béante laissant s’écouler les sécrétions vaginales. Valérie essaie de remettre de l’ordre dans ses vêtements. Elle est dépoitraillée, les seins sortis de son corsage et le redresse seins ne cachant rien de sa jolie poitrine. Quant au reste, sa jupe enroulée autour de sa taille la rend quasiment nue. Elle en profite pour se dénuder complètement, tranquillisée par l’inexistence de mouvement dans ce troisième sous-sol et pour revêtir les vêtements avec lesquels elle ...