1. Je vous attendais... (1)


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... jeu commençait. A peine allais-je prononcer un mot que la demoiselle m’embrassa délicatement, cherchant à exacerber mes sensations. D’abord surprise par ce premier contact avec une femme, mon corps protesta, mais en quelques secondes, je m’abandonnai au plaisir de la découverte. Enfin ses intentions étaient claires et, assoiffée que j’étais, mon sexe palpitait déjà ! Peu importe que ce soit une femme qui l’émeuve… Je n’étais pas contre une relation saphique car, à l’occasion, je peux être bisexuelle et en ces jours de jeûne et de frustration, j’accueillais volontiers les entreprises de ma belle inconnue. A l’arrière de la limousine aux vitres teintées, je commençais à subir et à goûter ses assauts ! Soudain elle se saisit de son Smartphone et dit : ·A la maison ! On nous attend ! Le chauffeur a repris sa place derrière son volant et aussitôt le roulis moelleux de la voiture s’est fait sentir. Je distinguais à peine ce qui se passait à l’extérieur mais je savais que personne ne nous voyait. Je sentais ses mains parcourir mon corps, frôlant mes seins ou mes cuisses encore à moitié couverts par mes vêtements puis s’insinuer dans l’ouverture de mon chemisier pour aller agacer mes tétons au travers de mon soutien gorge de dentelle. L’autre main remontait entre mes cuisses, les ongles faisaient crisser le nylon de mes bas, s’attardaient sur la bande de chair libre avant de se poser sur la dentelle de mon string sous laquelle mon sexe humide palpitait de plus belle, dans ...
    ... l’attente de caresses plus pénétrantes. Si au début, j’étais littéralement subjuguée par ma belle inconnue, je me suis libérée en lui rendant ses caresses : Etait-ce l’influence des verres de champagne ? Ou l’envie de plaisir ? Glissant ma main droite dans son dos, j’ai parcouru le sillon de sa colonne vertébrale en pianotant de mes doigts aux ongles acérés jusqu’à s’insinuer dans le sillon fessier. De l’autre je caressais ses longues jambes, parvenant tant bien que mal à jouer avec la gourmette qui enserrait sa cheville avant de remonter jusqu’à la fourche de ses cuisses. C’était chaud ! Mais nous en sommes restées à des préliminaires… Quand, après un temps que je n’ai pas mesuré, j’ai senti et entendu la voiture rouler sur une allée gravillonnée, j’ai pensé que nous n’étions pas loin de notre destination… Dès l’arrêt devant une belle demeure nichée au creux d’un écrin de verdure, un homme à la haute stature nous a ouvert la portière. Sans remettre d’ordre dans nos vêtements plus ou moins dépenaillés, nous sommes sorties toutes les deux du véhicule. L’homme s’est alors présenté : ·Ludovic, l’amant d’Anaïs. Entrez mes belles ! Je vous attendais avec impatience. En passant son bras sous le mien, Anaïs me guide : ·Entre Juliette, allons au salon ! Ainsi donc cette jolie femme trentenaire, à l’allure folle, se prénomme Anaïs. Si elle avait beaucoup de classe, son amant ne manquait pas d’allure et de charisme non plus. Je lui donnai entre 40 et 50 ans, une haute silhouette virile, des ...
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