1. Je vous attendais... (1)


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... épaules carrées, des yeux marron avec des minuscules rides d’expression, des cheveux d’un noir de geai parsemés de fils gris : bref, un beau mec ! Elle me guida vers un immense salon lambrissé de bois aux couleurs fauves avec de nombreux miroirs renvoyant à l’infini les lueurs d’un immense lustre et de d’une multitude de lampes posées sur des tables basses ou des consoles. Ludovic nous suivait et j’étais presque sure qu’à ce moment là, il se délectait du balancement de nos hanches qui s’épousaient dans une démarche sensuelle… Lorsque nous sommes arrivées devant un immense sofa de cuir blanc, Anaïs s’est arrangée pour que nous nous trouvions face à face, enlacées étroitement, nos pubis collés l’un contre l’autre. Avec des gestes doux mais oh combien sensuels, elle a fait glisser ma légère veste puis, défaisant un à un très lentement les boutons de mon corsage pour en écarter les pans, elle a empaumés mes seins menus et fait rouler au creux de sa paume mes tétons dressés de désir et d’envie contenus. Sous cette caresse, mes bourgeons sensibles se sont encore dressés comme chaque fois que je suis excitée sexuellement. Ludovic s’est approché de son amie et placé dans son dos, il a fait glisser la fermeture de la robe, écarté les larges bretelles et de lui-même, le vêtement léger d’Anaïs a glissé jusqu’au sol. Son corps à la peau mate, très brune, ne portait plus qu’un ensemble de fine dentelle jaune pale, soutien gorge et string des plus réduit : Une femme tout aussi splendide ...
    ... que Ludovic, un couple bien assorti, visiblement très coquin, libertin certainement pour que la femme aille draguer une autre fille pour la livrer, consentante et soumise à leurs caprices… L’une et l’autre nous étions toujours perchées sur les hauts talons de nos chaussures. Anaïs était légèrement plus grande que moi qui mesure à peine 1m70. D’une main elle a dégrafé mon soutien gorge et ma jupe qui sont allés rejoindre mes autres vêtements à mes pieds. Outre mon serre-taille qui maintenait de bas arachnéens, je ne portais plus que mon string, qui avec leur couleur noire tranchaient sur ma peau laiteuse de brune au teint pâle. Ludovic et Anaïs m’ont prise chacun par une main et m’ont fait m’allonger sur le sofa dans une pose alanguie. Je ne voulais pas voir ce qui allait se dérouler afin d’être totalement à mes sensations aussi ai-je rabattu sur mes yeux une grosse mèche de mes longs cheveux. C’est ainsi que j’ai subi la double agression d’une bouche vorace sur mes seins qui tout d’abord ont été léchés avant que les tétons ne soient sucés, mordillés, étirés, sucés à nouveau pendant que des mains courraient sur mon corps, se cherchaient sur mon nombril avant de venir faire une incursion indiscrète sous la dentelle de mon string. Ce dernier rempart a d’ailleurs rejoint rapidement mes autres vêtements sur l’épais tapis. Mon corps était en ébullition, je passais par des sensations de chaleur intense à d’autres où je frissonnais tant j’avais froid… Pourtant en cet après midi de ...
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