1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (7)


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... en bouche, jusqu’au fond de la gorge ! Maman est la meilleure suceuse que j’aie jamais connue. Elle suce lentement, jusqu’en gorge profonde, faisant rouler mon membre dans sa bouche, le comprimant entre ses joues. Et, comme je l’ai dit à plusieurs reprises, elle émet énormément de salive, noyant ma pine dans un bain merveilleusement chaud et onctueux. Puis, centimètre par centimètre, elle extraie mon membre, sur lequel elle continue de baver. Sa salive coule jusque dans mes poils, venant couvrir mes couilles. Sans oublier ses bruits de bouche volontairement accentués. J’ai pris l’habitude d’appeler çà sa « pipe de salope », tellement sa manière de me sucer est obscène. Elle crache sur mon gland prêt à exploser, et sa langue virevolte tout autour. Dans ces moments-là, c’est un supplice pour moi de me retenir de juter. Mais il le faut, d’autant qu’elle n’aime pas avoir du sperme dans sa bouche, son unique « défaut » (personne n’est parfait !..) Puis, elle reprend son manège, succion lente jusqu’aux couilles, bave, ventouse, etc., mais en accélérant peu à peu le mouvement. Voilà le genre de fellation dont elle me gratifie ce matin-là. C’est affreux, une véritable torture. D’un côté j’apprécie comme toujours sa « pipe de salope », mais cela me fait perdre le fil de la conversation avec cet imbécile de voisin… Et si je tente de parler avec lui, je commence à débander, ce que je ne veux pas non plus. Du genou, je tente de repousser doucement Maman, qui revient sans cesse à la ...
    ... charge. Je pense en moi-même : « attends un peu que j’en ai fini avec l’autre andouille, et tu vas voir ce que pour te punir je vais te carrer dans la chatte ou dans le cul ! » Quoique que pour Maman une telle action ne constitue assurément pas une sanction. La punir ce serait justement de ne RIEN lui faire. Mais je m’en sens incapable, ne songeant qu’à la défoncer à mort, la baiser comme elle le mérite. Je commence à m’embrouiller dans la conversation, à bafouiller. Je constate que mes voisins semblent un peu étonnés de mon comportement. J’ai les joues en feu, je dois être écarlate. Un coup d’œil furtif vers le bas me permet de voir Maman me dévorant avec voracité à présent. Enfin, elle finit par m’extraire de sa bouche. Mais ce n’est que pour me reprendre en main, et m’astiquer avec frénésie. Je comprends sa manœuvre, elle désire me conduire à l’éjaculation ! Ah, la coquine ! Je tente de me concentrer au maximum sur la conversation avec les petits vieux, ce qui a pour effet de retarder ma jouissance. Mais la torture n’en est que plus grande ! Ma bite devient presque douloureuse tellement Maman la maltraite sans ménagement aucun. Subitement, je sens un doigt se glisser entre mes fesses. Ah non, pitié, elle ne va pas faire que ce j’adore aussi, à savoir me doigter ! Eh bien si ! Elle imprime à son index mouillé un mouvement circulaire sur mon anus, puis l’enfonce en entier d’un seul coup. Branlé à mort par devant, doigté par derrière, et obligé de rester stoïque, trop, c’est trop. ...
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