1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (7)


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Ma résistance cède, et je me mets à juter, juter, des litres de foutre ! (Bon d’accord, j’exagère un peu !). Mais il est malgré tout certain que je crache un flot de sperme sur le visage de Maman, ses cheveux, ses seins, me vidant les couilles comme rarement. Je dois faire un effort surhumain pour demeurer impassible aux yeux de mes voisins. Mais je craque là aussi. Je trouve la parade en me mettant à tousser très fort, faisant mine d’avoir avalé ma salive de travers, m’en excusant auprès d’eux. — Ce n’est rien, ne vous excusez pas, cela nous arrive aussi ! me dit la voisine. Pendant ce temps après avoir récupéré les dernières gouttes de foutre sortant de ma bite, cette cochonne de Maman en enduit consciencieusement son beau visage et sa lourde poitrine. Ouf, la conversation s’achève enfin. Fenêtre refermée, Maman, heureuse de son bon tour, explose de rire. Je ne peux pas trop lui en vouloir malgré tout. — Tu as très bien géré la situation ! rigole-t-elle — Toi, tu vas voir ce que tu vas prendre, quand mes couilles auront refait le plein ! — Ah non, je ne peux pas attendre ! Si tu ne peux pas rebander et éjaculer tout de suite je comprends, mais il te reste une bouche, non ? Je n’ai pas joui, moi. Alors tu vas me bouffer la chatte et le cul !... Quelques jours plus tard, je vais avoir l’occasion de me venger. Oh, ce sera une vengeance dont Maman n’aura pas vraiment à se plaindre ! Peut-être jugerez-vous cet acte trop bref et inachevé, mais vue la situation, nous ne ...
    ... pouvions guère espérer mieux. Voilà qu’un jour, nous nous promenons dans un grand magasin parisien un peu « chicos », du boulevard Haussmann. La Fête des Mères approchant, je souhaite faire un beau cadeau à Maman. Coquin, de préférence… Tant pis pour la surprise, je préfère qu’elle choisisse elle-même quelque chose qui lui plaise, au rayon lingerie fine. Après moult tergiversations, elle opte pour un petit ensemble très sexy. La lingerie essayée n’est pas échangeable, ce qui me parait hygiéniquement normal. Maman étant sûre de son choix, nous nous dirigeons vers les cabines d’essayage. Comme il y a du monde dans le petit couloir entre les deux rangées, je la laisse entrer dans la cabine et tirer le rideau. Au bout d’un moment, elle m’appelle : — Entre, je voudrais ton avis ! Je m’empresse de la rejoindre, et la découvre dans la très légère tenue en question, à savoir une nuisette noire et transparente, sur un petit string. Il ne me faudra pas plus de 10 secondes pour bander comme un âne ! — Vraiment joli. Et puis, tu es rudement bandante comme ça, fais-je en lui collant la main aux fesses. — Ttttt ! Sois sage voyons ! — Sage ? Quand je te vois comme ça ? J’ai envie de te sauter. — Patience, dans une heure nous serons à la maison. — Non, j’ai envie de te sauter ici, tout de suite ! Joignant le geste à la parole, je glisse ma main droite sous la nuisette, et vient la coller à l’entrejambe du string. — T’as pas envie ? Menteuse ! Ton string est humide : Tu mouilles comme une salope ! ...
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