1. La gérante de la galerie d'art (5)


    Datte: 31/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Je n’ai pas pu résister bien longtemps à l’envie de lui enlever sa robe. La voilà donc maintenant vêtue uniquement de ses bottes, de ses bas et de sa guêpière qui la compresse et la boudine un peu et ses roploplos débordent presque. Elle fait pitié ! A genoux, elle est superbement bandante et lève vers moi des yeux de chienne implorante. Si elle croit qu’elle va m’attendrir… Au contraire, elle me donne envie de lui faire mal, de la soumettre méchamment. J’ai envie de lui sortir toute sa nichonaille. Je ne me gêne pas et avec un aplomb monstre, je passe une main dans un de ses balconnets et lui pelote sans vergogne son sein bien plein et mou. La salope, non seulement elle ne proteste pas, mais elle ferme les yeux à moitié, gémit… Je rêve ou c’est un encouragement ?! En tout cas, elle ne proteste pas sous cet attouchement, c’est clair. Pour l’humilier un peu plus, je les lui prends et les sors, les fais tous les deux passer par-dessus bord ! Elle n’a pas l’air conne ainsi, on dirait un morceau de viande, une vraie pute à dockers ! Je lui fais signe de ne pas bouger, je m’éloigne un peu pour installer mon trépied, je prépare tout, y compris mon déclencheur à distance. Pour l’heure je lui ordonne de se foutre à quatre pattes, c’est-à-dire de se pencher en avant jusqu’à ce qu’elle repose sur ses épaules, et avec une voix très dure. Si avec ça elle n’a pas compris que je suis autoritaire et que j’aime soumettre les bourgeoises comme elle et les avilir, que j’aime humilier les ...
    ... femelles de la haute… Elle sait maintenant à quoi s’attendre. Elle bave, elle a vraiment l’air stupide. Je mitraille. De profil. Puis je me place en face d’elle. Elle a la tête sur le côté. Je lui ordonne de me regarder. Comme elle ne s’exécute pas assez vite je l’attrape par ses cheveux bruns et soyeux et lui tire la tête en arrière, elle a compris. Ses beaux yeux sont doux et abattus, mais j’y lis aussi autre chose : ils brillent… de honte et d’excitation ! Elle est à ma merci, elle aime ça. Je me place derrière elle, lui ordonne de bien écarter les cuisses. Plan rapproché sur son cul bien développé, ses fesses plantureuses. Tout à l’heure je lui administrerai une claque bien forte sur chaque hémisphère puis je photographierai immédiatement l’empreinte rouge de la paume et des cinq doigts… du pur esthétisme ! Je continue à mitrailler, m’accroupis… Je vois sa chatte entrouverte, le pubis bombé qui tombe un peu… un peu gras… ça bouffe trop les bourgeoises, et à quarante-cinq ans ça commence à devenir enrobées et avachies. Ses bottes en daim avec ses talons pointus, ce que c’est bandant ! J’aurais envie de lui en enlever une et de lui enfoncer le talon dans le cul ! Mais je me contente de sourire. Ma parole, mais je vois des gouttes de sève sur ses petites lèvres… Elle mouille la salope ! Je lui en fais la remarque, histoire qu’elle ait bien honte, qu’elle prenne conscience que j’ai compris qu’elle aime être soumise et humiliée : c’est le coup de grâce. Je lui demande de garder la ...
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