1. La gérante de la galerie d'art (5)


    Datte: 31/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... position et je lui détache les poignets et lui ordonne de s’écarter les fesses avec ses deux mains… Elle hésite, mais je me fâche, élève la voix. Ses jolies mains fines se posent sur ses grosses fesses (vision d’enfer, à faire bander un saint. Photo), tirent légèrement sur elles vers l’extérieur. Je ne vois rien. Je cesse de mitrailler, la houspille. Elle geint (une protestation peut-être ?) mais obéit, et s’écarte les fesses cette fois au maximum. Vue plongeante sur son sillon fessier sombre et sur la petite rosette bistre, qui palpite. Elle est bien froncée, elle n’a pas dû être visitée très souvent : j’ai plein de choses à lui apprendre… hummmm. Clichés. « - C’est très bien ma chérie. On refera ça un peu plus tard… avec un plug dans le cul ! » Je ne suis pas sûr qu’elle sache ce que c’est, mais elle va apprendre. J’adore travailler la petite rondelle des bourgeoises mûres, histoire de les préparer à se prendre autre chose. Je lui propose de faire une pause. Je l’autorise à se relever. Je lui enlève son bâillon-balle, essuie de mes doigts sa salive qui a coulé sur son menton. Je la laisse s’asseoir, quasiment nue sur une chaise et lui propose un rafraîchissement. Si vous n’êtes pas trop fatiguée, après, je propose de vous faire connaître le shibari, un art du bondage japonais, c’est très esthétique… mais pas assez osé à mon goût. Je le personnalise un peu, je l’agrémente d’accessoires et de postures plus… américaines, californiennes ; vous connaissez sans doute les sites ...
    ... comme the upper floor, the training of O… ? Ou les sites français comme Captiveculture, ma chère ? Non, eh bien vous regarderez, car je suis sûr que vous êtes curieuse… ° ° ° Les choses sont allées un peu vite tout d’un coup. Je reprends ma respiration. Toutes ces choses nouvelles se bousculent dans mon esprit. Je ne comprends rien à ce qu’il raconte vis à vis des positions, californiennes, chinoises… Je suis assise et je bois ma flûte de champagne. Je sens que mes tétons sont encore durs et je rentre mes seins avec une fausse pudeur dans leurs balconnets. Je me sens si vulnérable et hors du contrôle que je connais d’habitude. Il me laisse me calmer car il est bien meilleur de me torturer sexuellement en me refusant ce que mon corps demande. Il me prend par la main et me fait mettre debout avec galanterie et sans être brutal. J’obéis volontiers. Voyant que je me détends avec ce comportement plus élégant bien qu’encore direct, il me fait des compliments sur mon corps. Il veut que je me détende, que je sois prête pour la suite Il me félicite pour ces poses. « Ce sont les plus sexy mais aussi les plus classe que tu aies jamais prises, etc etc… » Il caresse mes hanches et je ne peux m’empêcher de caresser son torse. Notre rapport devient plus intime. Je suis à son service et le respecte. Il caresse mes fesses et un gémissement sort de ma bouche, ma bouche à moitié ouverte comme mes yeux. Il pourrait à ce moment me faire ce qu’il veut, me caresser mon intimité pour me faire mouiller ...