1. Une tranche de vie 4


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... ridicule et j’essayais de réajuster le tout au mieux. Alors elle s’accrocha à moi et me dit « Après avoir fait l’amour, j’aime faire un petit câlin, sers moi fort dans tes bras ». Ce que je fis, et elle resta ainsi pendant un certain temps, je sentais ses seins contre ma poitrine, son ventre contre le mien, elle ne bougeait pas, simplement la respiration devenait plus calme, plus tranquille. Puis elle se sépara et dit qu’elle allait préparer un nouveau café. Elle avait rabattu sa jupe, mais à peine au niveau des bas, tant et si bien que celle-ci lui moulait les fesses. Aussitôt arrivé à la machine à café, elle se retourna, ce qui me surprit et elle sourit en me disant « Ça te plait toujours autant ». Que dire sinon « Oui, beaucoup, surtout enserré ainsi dans ta jupe », « Ça t’excite ? Attends que je rapporte les cafés, tu devras être à la hauteur » De retour alors qu’elle posait les godets de café sur la table, je me collais derrière elle et lui prenais les seins que je « triturais » gentiment. Les prenant à pleine main dans tout leur volume puis, caressant les aréoles et récupérant les mamelons qui durcissaient et que je caressais avec la paume des mains. Sophie, posa ses mains sur les miennes m’incitant à malaxer plus durement ses seins. En même temps, je l’embrassais dans le cou. Opérations qui était accompagnée de soupirs de plaisir. Tout ça entrainait une augmentation importante de l’intérieur de ma braguette, ce que Sophie sentit, et elle se mit à frotter son joli cul ...
    ... contre ma trique. Visiblement elle se chauffait et après avoir hésité un moment, je me lâchais et lui glissais dans l’oreille : « Suces moi ». Honnêtement, je craignais un peu sa réaction. Il me sembla qu’il y eut un petit temps d’arrêt, puis se retournant elle me dit : « Tu as aimé, ça te ferait plaisir » Moi : « Bien sur, j’en ai envi, j’ai beaucoup aimé la dernière fois » Elle se laissa glisser contre moi. Je voulu défaire mon pantalon, elle me dit : « Non, laisse moi faire, j’aime aller chercher le petit oiseau dans son nid et le sentir grossir dans ma main et dans ma bouche, laisses moi faire » C’est ce qu’elle fit, le caleçon descendu, l’oiseau avait sacrément grossi. « Je vois qu’il grandi vite, j’aime » Elle me caressa légèrement, me lécha la tige à grands coups de langue, ce qui ne fit qu’augmenter mon excitation et me prit en bouche et de me pomper. « Je sens que ta queue prend des proportion agréables, elle devient bien dure, je sens que tu vas être prêt pour m’enculer, … hum, …. C’est bon, … Viens prends moi » Elle se releva, remonta sa jupe jusqu’aux hanches, elle se pencha en avant et de ses deux mains écarta ses jolies fesses mettant bien en vue son joli petit trou marron clair juste au dessus de sa chatte plus rose et brillante de cyprine. « Avant de prendre mon cul, lèche moi la raie » C’est ce que je fis copieusement de façon à bien l’humidifier. « Oui, viens, prends moi, fais moi plaisir, fais toi plaisir, oui, …. fais moi jouir » Je me positionnais en face ...
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