1. Une tranche de vie 4


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Lundi 29 Juillet – au bureau Je devais partir le lendemain, étant donné que nous nous étions séparé rapidement, je dirais sans même que je puisse lui dire au revoir, depuis le matin, cela me taraudait de savoir si je devais l’appeler à son bureau (chez elle c’était interdit) et lui faire mes adieux. Oui, …, Non, ... En fait il m’est apparu qu’il serait parfaitement mal élevé de ne pas lui passer un coup de fil pour la saluer avant mon départ. Le numéro de son bureau était dans l’annuaire, je le composais et naturellement je tombais sur sa secrétaire : « Bonjour, je voudrais parler à Mme P. » « C’est à quel sujet, svp ? » Après une seconde d’hésitation je répondis : « Elle m’a laissé un message, me disant de la rappeler « « Bien, je vous la passe » « Bonjour Sophie, je voulais t’appeler, pour,.. » « Bonjour Jean, attends, ne quittes pas, je prends une autre ligne » Effectivement j’entendis un vague déclic et Sophie se remit à parler. En fait le changement de ligne n’avait pas opéré et j’entendis toute la conversation. « Maïté, j’ai un RV à 2,30 heures vous le déplacez à quand il veut, trouvez une excuse, il ne posera pas de problèmes. Par contre j’en ai un autre vers 4,00 heures, faites le glisser d’une demi-heure. Lui on ne peut pas le déplacer » « Désolée Jean, mais j’ai du appeler ma secrétaire pour déplacer un RV. Comme ça, tu pourras venir en début d’après-midi, je suis libre » « Mais, … (un moment d’hésitation car je ne voulais seulement lui dire au revoir par ...
    ... politesse et voilà qu’elle voulait que je vienne, que faire), … J’avais prévu de finir mes bagages, mais je suis content que tu aies pu te libérer, je viendrais en début d’après-midi » « Bon je t’attends à deux heures » Et en garçon bien obéissant à 2,00 heures précises, j’étais dans ses bureaux. Sa secrétaire me fit rentrer et se retira rapidement. Son bureau était en fond d’une grande pièce, sans particularité spéciale, sinon perpendiculaire à son bureau, une table de conférence avec 6 chaises. Sans à peine me regarder, elle glissa un bonjour Jean. Alors que je m’approchais du bureau Sophie se leva fit le tour de son bureau, sans un mot et en un seul mouvement, ses bras m’entourèrent, elle vint se coller à moi, ses lèvres se collèrent aux miennes. Pendant que nos langues se reconnaissaient son corps se frottaient au mien, ses hanches dansaient doucement contre moi, une danse excitante, telle qu’il ne fallu pas longtemps pour qu’un bosse apparue dans mon pantalon, ce qui ne fit qu’augmenter le roulement des hanches. Enfin elle dit : « Je vois que tu es en forme, assieds toi sur une chaise, il n’y a pas de fauteuils ici, un café ? » Elle était habillée d’un tailleur gris clair, jupe naturellement courte, assez courte pour attirer le regard sur ses jambes et être très sexy. Veste cintrée de même couleur légèrement décolletée, qui laissait apparaître le col d’un corsage noir, bas fins noirs et escarpins évidemment. Elle partit vers la machine à café qui se trouvait près de la porte ...
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