Jennifer
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
jeunes,
copains,
grosseins,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
... glissé en son intérieur, pour l’élargir gentiment. Ensuite, ses doigts et sa langue se sont relayés pour m’assouplir encore, et quand j’ai été sur le point de lui dire que j’étais prête, je n’ai pas eu à le faire, parce que je ne sentais plus sa bouche, mais l’une de ses mains sur le haut de ma croupe. Ça a été si facile de faire passer son gland, parce que je l’attendais tellement ! Je ne l’avais pratiquement pas aidé. Je ressentais sa chaleur, et lui devait ressentir la mienne. Et par à-coups, je l’ai fait pénétrer plus avant en moi. Lui poussait aussi, de son côté, et c’était si bon de le sentir à cet endroit. Il l’avait fait avec une telle patience que je n’avais ressenti aucune douleur, au contraire. J’ai commencé les va-et-vient mais il a attiré mon corps, pour que je me redresse. J’étais maintenant à genoux sur le lit. Mon dos, cambré, collait à son torse, et il mordillait ma nuque, le lobe de mon oreille. Quand j’ai cherché sa bouche, pour lui dire que j’aimais ce qu’il me faisait avec mes lèvres et ma langue, il a commencé à m’enculer doucement. Son mouvement n’était ni précipité ni brutal, mais puissant, profond, et lent, et doux. Je sentais sa queue, la reine de mes plaisirs, coulisser dans mon rectum, de plus en plus fort. Je criais maintenant, tandis que ses mains caressaient mon ventre, mes seins menus mais terriblement durs, les lèvres de ma chatte, mon clitoris. Oh oui, il n’était pas gauche de sa main droite, et très adroit de sa main gauche ! Sa langue ...
... aussi était douée. Il léchait ma bouche, lui faisait un vrai cunnilingus. Il gémissait, lui aussi. Il criait. Et quand j’ai senti son sperme envahir, par saccades, la cavité dans laquelle il était, j’ai explosé, moi aussi, en un milliard d’étincelles. Le plaisir prenait naissance de partout en moi. À travers ses doigts qui pinçaient mes tétons, les autres fouillant ma vulve. Il partait de mon cul aussi, si magistralement aimé, remontait le long de ma moelle épinière, pour s’épanouir dans les deux hémisphères de mon cerveau, nos bouches buvant nos cris respectifs. Je n’ai pas, à proprement parlé, perdu connaissance, mais j’ai senti, de très loin, qu’il m’empêchait de m’effondrer. Il m’a allongée doucement sur le côté, sa bite toujours fichée en moi, en une présence de moins en moins envahissante, comme si elle se recroquevillait pour ne plus s’imposer. Je sais que ça va faire cliché de dire ça, mais j’m’en fous, parce que c’est la vérité : jamais je n’avais joui du cul, avant ce soir. Je SAIS que ses caresses et ses baisers n’ont été pour pas grand chose dans le plaisir que j’ai ressenti, parce qu’il découlait de sa douceur, de son amour pour moi… mais aussi de l’amour que je ressentais pour lui. Et puisqu’on en est plus à une énormité près… je savais, avant de sentir sa queue dans mon cul, qu’il me ferait jouir par là, lui ! L’épuisement a dû prendre possession de moi, parce que j’ai eu la sensation qu’un bruit m’avait réveillée. Un bras me maintenait collée contre un torse : Mon ...