Jennifer
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
jeunes,
copains,
grosseins,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
... amour aussi s’était endormi, mais il m’a murmuré dans le creux de l’oreille : — Je crois bien que Florence est rentrée… J’ai prêté l’oreille au silence, mais pas trop, parce qu’il n’y avait nul besoin de le faire : elle pleurait, et ça avait l’air très grave, cette fois ! J’ai eu peur, parce que jamais la crise n’avait été aussi forte. Mais il a ajouté : — Il faut que tu y ailles ce soir, parce que moi, ça me tue de l’entendre pleurer comme ça !— Mais… et nous, ai-je protesté, mollement. Il n’a pas répondu de suite, mais je l’ai senti frissonner contre moi. — Vas-y… je t’en prie… J’ai entendu la peine dans sa voix et je me suis levée, après un rapide bisou sur ses lèvres pour y puiser du courage. J’ai fait un rapide détour par la salle de bain… pour y réparer les dégâts de cette nuit, et… Ah ! on peut dire que le timing de cette nuit a été plutôt serré ! Florence vous a déjà raconté tout ça et pour être tout à fait franche avec vous, encore une fois, même maintenant qu’elle fait partie des deux personnes que j’aime, ça me fait mal d’évoquer notre première dispute… la nuit où je l’ai frappée ! Jamais je ne pourrai me pardonner ce geste, et cela même si elle ne semble pas m’en vouloir ! Mais je veux bien faire un effort et vous donner la totalité de notre dialogue entre Luc et moi. Est-ce que ça vous intéresse ? Parce qu’il ne s’est pas seulement déroulé devant la porte de Flo, mais s’est poursuivi dans ma chambre, tandis qu’il se rhabillait, ainsi que devant la porte d’entrée ...
... avant qu’il ne parte. Donc… … — Et voilà… je crois que c’est maintenant… on savait que ça allait arriver, n’est-c’pas ?— Chut, Luc… il faut qu’on essaye de parler moins fort, s’te plaît, l’ai-je enjoint au calme. Tu crois qu’il faut que tu me laisses régler, ça… J’ai trop peur ! Je me rendais compte que c’était vrai parce que j’avais essayé d’arrêter de pleurer avec ma méthode, mais elle n’avait pas fonctionné. Mais il m’a dit, en me prenant dans ses bras : — Je me demande si j’en suis encore aussi sûr… Bon alors, qu’est-ce que je fais, parce que je crois toujours que ma présence ne ferait qu’empirer les choses, non ?— Oui… je pense que tu as raison… il faut que je règle ça, me suis-je affermie, résolue. Oui… tu peux me laisser seule… Demain, je passerai te voir, chez tes parents. On avait pas discuté longtemps mais, de sentir et de savoir qu’il était là, en cas de coup dur, combiné au fait que je ne voulais pas que la situation m’échappe, a fait que j’ai oublié mon chagrin… même si le bruit de la gifle continuait de résonner dans ma tête. Je l’ai pris par la main et l’ai entraîné dans ma chambre. Là, il m’a dit, riant un tout petit peu, mais toujours chuchotant : — Bon, et si tu me rendais mon caleçon et ma chemise, j’pourrais p’t-être me rhabiller… parce que j’vais p’t-être pas rentrer chez moi à poil ? J’ai fait : — Oups ! Et je me suis regardée… Je ne m’étais même pas rendue compte que les vêtements que j’avais pris avant de sortir de ma chambre n’étaient pas à moi, bien ...