Jennifer
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
jeunes,
copains,
grosseins,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
... ce que vous dites ?— Oui, mais pas maintenant… Allez, file… Et que je n’te revois pas avant demain ! Je me suis rhabillée vite fait, et j’ai tenu à dire «au revoir» à l’amour de ma vie. Je l’ai plaqué au mur à côté de sa porte d’entrée : — Bon… là, j’vais «m’occuper» de Florence… mais, j’peux te dire une chose, mon amour ?— Oui, vas-y.— J’te promets que t’auras droit à une fête, demain soir… comme notre première nuit… D’accord ? Il a acquiescé de la tête, ses yeux dans les miens. Il savait que ce n’était pas une promesse en l’air, parce que j’avais senti la luxure revenir dans mon corps… Ça faisait presque une semaine qu’elle l’avait quitté. Avant de partir, je lui ai donné «son» baiser, point par point. … Il haletait quand je l’avais laissé. À vrai dire, je haletais aussi. Beaucoup de choses affolaient mon souffle : mon baiser m’avait été rendu par Luc et c’était bon de «retrouver» notre ancienne passion. Je respirais vite parce que je marchais vite… et la fébrilité dans laquelle m’avait jeté ce que je m’apprêtais à faire, provoquait un écoulement et un réchauffement à un certain endroit de mon anatomie. Arrivée chez nous, je suis restée un long moment le dos contre la porte d’entrée, à reprendre mon souffle. J’avais chaud, vous pouvez pas savoir. J’avais l’impression de puer le sexe à plein nez, alors je suis allée prendre une douche. Ensuite, je me suis rendue à ma chambre, à poil, et j’ai déniché un caleçon et un t-shirt. J’m’en fichais, parce que, de toute façon ...
... j’allais les virer, ça n’allait pas traîner. Tout ça pour vous dire que la douche ne m’avait pas calmée… loin de là ! Il s’était passé trop de temps (je dirais, trois ou quatre minutes), depuis que j’étais entrée dans celle-ci. Dans ma tête, je me suis dit : «C’est maintenant ma cocotte… Vas-y, mais calme-toi… Ne la viole pas… Aime-la !» J’en étais là quand j’ai ouvert sa porte et que j’ai risqué un œil dans sa direction. Elle avait une jambe sous le drap et s’apprêtait à y mettre la deuxième, quand elle a tourné la tête dans ma direction. Je ne savais pas quoi dire. Pour être honnête, son air neutre me désarçonnait un peu. Je lui aurais presque préféré une nouvelle colère, parce que là, j’y étais à peu près préparée. J’ai fait un pas, puis deux vers elle, et l’expression de son visage a changé, avant d’y afficher de la peur, puis des larmes. Je ne le voulais pas, qu’elle pleure, parce que j’espérais que ça serait joyeux, ce qu’on allait partager, alors j’ai avalé la distance très vite. J’ai pris sa main dans les miennes et je lui ai dit, en lui souriant, mes yeux dans les siens : — N’aie pas peur… je ne vais rien te dire de méchant… J’ai cru qu’elle avait compris, quand son regard a réellement regardé le mien. Je voyais son visage si beau. Les quelques taches de rousseurs sur le haut de ses joues, juste au-dessous de ses si envoûtants yeux noirs. Son petit nez mutin, frémissant pour le moment. Ses lèvres un peu trop pulpeuses, frémissantes, elles aussi. Ne voyait-elle pas que j’en ...