Jennifer
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
jeunes,
copains,
grosseins,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
... avais envie, de tout ça… d’elle ? Je ne pouvais plus me jeter sur elle, parce qu’elle pleurait toujours, alors j’ai ajouté, de ma voix la plus douce : — Je viens juste te demander pardon de t’avoir frappée… et d’avoir oublié que tu étais mon amie, toute cette semaine que j’ai passée à te fuir… Mes yeux voyageaient des siens à sa bouche. Graduellement, l’amour a grandi dans son regard. Il a asséché ses larmes. — J… c’était… ma faute, s’est-elle excusée, elle, contredisant le fait que je me sentais la seule responsable. Alors je l’ai interrompue : — NON ! J’aurais jamais dû faire ça, alors que je sais ce que tu as enduré pendant toute ton enfance !— C’était ma faute, a-t-elle répété. Je n’avais pas le droit de… t’embrasser. À ce simple mot, j’ai compris qu’elle aussi ne cessait d’y penser. Le souvenir de son baiser volé ne cessait de harceler mes pensées. Je ne m’en rendais pas compte, mais je parlais, en même temps. Je serais incapable de vous dire ce que je lui ai répondu. Tout ce que je sais, c’est que je lui ai coupé la parole quand elle a tenté de s’excuser encore une fois. Je n’en pouvais plus… ça prenait trop de temps ! Je n’avais déjà que trop patienté ! Ses lèvres étaient dures : elles ne me laissaient pas passer. Dans un effort surhumain, j’ai décollé mes lèvres. Pourquoi ne répondait-elle pas à mon baiser ? — Pour… pourquoi tu m’as embrassée, Flo ? Elle ne répondait pas à mon baiser ! Ça me mettait au désespoir, alors, je l’ai déséquilibrée et l’ai plaquée à ...
... son lit. Dans ma tête, je me disais : «Putain, mais tu vas m’embrasser aussi… C’est qui la gouine, de nous deux !» Je ne voulais pas lui demander qu’elle m’embrasse aussi. Je voulais qu’elle le fasse sans que des mots l’enjoignent à le faire, alors j’ai fait une dernière tentative : — Pourquoi tu m’as embrassée… pourquoi j’ai pensé qu’à ta bouche tout le temps… réponds-moi, espèce de salope ! Quand j’ai pris son sein dans ma main… j’ai soudain réalisé que c’était une femme que je tenais dans mes bras… Florence : ma meilleure amie… la femme que j’aimais… Je me suis forcée à un peu plus de calme, et je l’ai suppliée : — Flo… embrasse-moi encore… je t’en prie… J’avais capitulé, mais ça n’avait plus aucune importance, parce que l’expression de son visage changeait : elle me CRIAIT qu’elle m’aimait, maintenant… avec tous les éléments de son si beau visage. Bouche contre bouche, elle me l’a murmuré, dans un souffle tiède et tout doux : — C’est parce que je t’aime, Jen… je t’aime ! Sa voix avait tremblé, à son dernier mot. Enfin, nos langues se sont trouvées et c’était si bon ! On s’est aimées toutes les deux, et puisqu’elle m’a demandé d’être douce et romantique, j’ai «oublié» l’urgence… le manque d’elle. J’ai été douce et romantique. Vous avez déjà lu tout ça et, je vous demande pardon de vous l’infliger une seconde fois, mais il vous fallait ma version de l’histoire, n’est-ce pas ? Vous savez tout, maintenant. Vous savez que je les aime, tous les deux. J’y ai eu droit, à «mon» ...