Jennifer - Histoires de Sexe

Jennifer

... en empoignant sauvagement ses fesses. Elle a joui comme ça, en tremblant et en criant, là, son corps sur le mien. Je le sais parce que j’ai senti un écoulement de jus se répandre dans les poils de mon pubis. Son corps s’est alangui contre le mien, tandis que les tremblements s’espaçaient. Ses énormes seins épousaient ma poitrine beaucoup plus menue, l’enveloppant d’une douceur et d’une moiteur divine. Moi, je m’étais tellement concentrée à lui donner ce baiser, que je n’avais pas physiquement joui, mais le plaisir s’était exprimé à l’intérieur de ma tête. Avant que sa respiration soit tout à fait calme, elle s’est exclamée : — Woaw… tu m’aimes vraiment autant que ça ?— Oui… et même plus, si tu veux tout savoir !— Eh ben dis donc !— Flo… je peux te dire quelque chose ?— Tout ce que tu veux, mon amour…— Je ne veux plus jamais avoir peur de toi… alors, je ne veux pas te mentir plus longtemps… Elle a redressé la tête, et a regardé mes yeux. Comme elle y a lu l’amour et la joie d’être avec elle, elle n’a pas été inquiète. J’ai continué : — C’est un garçon qui m’a appris à embrasser comme ça…— Ah bon, a-t-elle commencé. Mais… pourquoi t’as eu peur de moi, a-t-elle paru se rappeler, soudain.— J’ai eu peur que tu me dises que tu ne voulais plus vivre avec moi, parce que je t’avais frappée… Elle a eu un petit rire, mais il avait l’air nerveux, parce que la surprise prédominait, dans son regard. — Excuse-moi de rire mais… moi, j’ai passé une semaine infernale à me demander si tu ...

... n’allais pas me jeter dehors, parce que je t’avais embrassée !— Aaah… ça te fait rire en plus, alors on va faire un marché, espèce de violeuse… tu oublies la gifle, et moi, j’oublie le baiser volé, ok ?— Ok… ça m’paraît un marché honnête, espèce de… fille-sans-pudeur !— Oh, arrête avec ça, hein… parce que je pourrais te parler d’un certain dossier… pour parler de pudeur… et puis, j’te signale que toi aussi, t’es à poil, en ce moment !— D’accooord, a-t-elle capitulé, en se retenant de rire, et pas vraiment de bonne foi. Le baiser suivant, elle me l’a pas vraiment volé, parce que je l’attendais. Je l’espérais, même. Mais il n’a pas duré longtemps. — Au fait, tu me parlais d’un garçon ?— Oui… mais avant d’en arriver à lui, j’aimerais te poser une question…— Vas-y !— T’en es où toi, avec eux ?— Ben, tu sais… j’les ai un p’tit peu mis de côté pour le moment… parce qu’à part s’intéresser à mes doudounes, hein…— C’est pour ça que tu es devenue lesbienne ?— Eh oh… j’suis pas plus lesbienne que toi, hein… C’est juste que j’attendais d’en trouver un qui s’intéresse à moi un peu plus… généralement… si tu vois ce que je veux dire !— Oui, je vois… donc, je peux te parler de Luc, maintenant ?— Oui, tu peux… à moins que tu n’attendes que je meure d’impatience, à force de te voir tourner autour du pot pendant un siècle !— Oh mais t’arrêtes, hein, lui ai-je ordonné, en la chatouillant sur les côtes. Elle s’est tortillée, a rué, riant aux éclats, à tel point qu’elle serait tombée du lit, si je ne ...