1. Jennifer


    Datte: 01/08/2018, Catégories: fh, ff, fbi, jeunes, copains, grosseins, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus,

    ... soixante-neuf, et c’est vrai qu’elle m’a laissée «gagner», dans un premier temps. Mais ensuite, elle a tiré des larmes de plaisir de moi. Elle m’a «tuée» d’amour avec son expérience de lesbienne ! J’avais goûté à ses gros seins, à sa chatte, et son anus aussi a eu droit à mes baisers, aux visites de ma langue. J’avais écarté ses fesses de mes mains, et alternativement, je lui ai fait des bisous à cet endroit, je l’ai léché longuement, j’y ai enfoncé ma langue, parce qu’il n’était pas question de tabous non plus, entre nous. Elle aussi, je l’ai enculée de mes doigts. Je l’ai fait jouir par là et je suçais son clitoris en même temps. Il était tout dur entre mes lèvres. Ces mêmes doigts qui m’avaient servis pour Luc, je les ai transformés en pénis, et elle a crié, elle aussi. Elle s’est démenée, a rué. Elle a pleuré de jouissance et j’en étais si fière… si heureuse. C’était moi qui avait la place du dessus, et elle a compris d’elle-même que j’attendais la même chose d’elle. J’ai joui aussi, dans un milliard d’étoiles, parce que j’avais été transformée en pile à plaisir : chaque nerf de mon corps attendait les caresses, les baisers, les coups de lèche. Après avoir repoussé mon corps inerte, alangui sur le sien, elle m’a rejointe, et j’ai senti ses lèvres déguster mon souffle. Maintenant, elle léchait mes lèvres, ma langue, et j’en faisais de même. Bien que ça fasse presque une semaine que je n’avais pas vraiment dormi, je ne ressentais pas la fatigue : je voulais rester avec ...
    ... elle, parce qu’il me restait une chose à faire. Ça a été facile de lui parler de Luc, parce que je savais faire, maintenant. Je l’ai mis dans la conversation progressivement : — Flo… maintenant, tu sais comme je t’aime, hein ?— Oui…— C’est vrai que tu m’aimes, toi aussi, lui ai-je demandé, bien que je connaisse déjà la réponse.— Oh oui, je t’aime… je t’aime, je t’aime… Elle a eu un petit rire, mais a continué : — Tu m’arrêtes quand tu veux… je t’aime, je t’aime… J’ai pris sa tête dans mes mains, et sa dernière déclaration dans ma bouche. Pas une seule fois, le ton de sa voix ne m’avait fait douter de ce qu’elle disait. Moi, je lui ai dit que je l’aimais aussi… mais avec mon baiser. Ça peut vous sembler… «dégueulasse», de faire ça, mais je l’ai embrassée comme Luc me le fait : je ne connaissais pas de meilleur moyen de montrer à quelqu’un qu’on l’aime, en dehors de répéter sa déclaration indéfiniment. Quand je l’ai sentie trembler dans mes bras, j’ai laissé mes mains abandonner ses joues. J’ai caressé ses tempes, le noir de ses cheveux, sa nuque en dessous, puis ses épaules, ses omoplates, le milieu de son dos. J’ai appuyé la caresse dans la cambrure de ses reins, et elle a poussé du bassin contre mon bas-ventre. Elle s’est mise à gémir dans ma bouche, puis à crier. Elle décollait ses lèvres, parfois, à la recherche de son souffle, et criait de plus belle. Nos langues se caressaient langoureusement, entre nos bouches décollées. J’ai de nouveau soudé nos lèvres les unes aux autres, ...
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