Jennifer
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
jeunes,
copains,
grosseins,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
... était «responsable» de ce bonheur, et quand je me suis retournée, un sourire timide, mais déjà amoureux a répondu à mon exaltation. Oui, c’est ça : je pense que c’est à ce moment précis que j’ai vu l’amour dans son regard pour la première fois. Alors, j’ai voulu le tester, pour savoir s’il m’aimait moi… ou s’il convoitait seulement la «bombe»… pour «l’ajouter à son tableau de chasse». Je ne vais pas vous refaire le film, juste vous dire que moi, je l’ai trouvé parfait, parce que quand vous prenez la main d’un homme pour la mettre sur votre sein, ça veut dire que la femme est prête à vous laisser plus de libertés que ça, non ? Eh bien lui, il n’a pas pétri mon sein de sa main gauche. Il ne l’a pas non plus fait descendre sur ma chatte, pour abuser de mon abandon. Tout juste si je la sentais à peine, comme s’il n’osait pas. Et quand j’ai attiré sa bouche, il a à peine répondu à mon baiser (que je lui avais imposé, je vous le rappelle), dans un premier temps. Puis, je l’ai senti s’affoler, dans ma bouche, chercher ma langue. Je le sentais mais à peine, parce que son sexe en érection pressait ma hanche. Quand j’ai repoussé sa tête, j’ai pu voir la résignation derrière l’amour, dans ses yeux : il devait être prêt à éjaculer, mais avait l’air de s’en ficher. Avec mes yeux, je lui ai dit que j’en voulais encore, ou plus. Mais il ne m’a pas donné le même baiser que moi. Avec sa bouche, il a aimé la mienne. C’était la première fois qu’un garçon m’embrassait comme ça. Et au moment où ...
... il m’a abandonnée, j’étais en train de me demander s’il n’allait pas me faire jouir comme ça, tellement ça avait été bon. Mais ce que je préférais c’était la façon que nous avions de «jouer», l’un avec l’autre : elle traduisait une complicité que je n’avais jamais connue jusqu’alors. Bref, j’arrête là mon énumération, parce qu’il vous a déjà raconté ça. On va passer à la suite de notre nuit. Celle du lendemain, donc. … Quand je lui ai demandé de me guérir avec son amour, nus tous les deux dans mon lit, j’étais complètement «raide-dingue» de lui ! Par exemple, s’il m’avait dit : — Non… c’était une blague… Tout ce que je voulais c’était coucher avec toi, parce que t’es vraiment «trop bonne»… alors j’me rhabille, et j’me casse ! Je me serai tuée, là, sur-le-champ ! Parce que, si j’avais «donné» mon corps aux hommes, jusqu’à présent, à lui, je m’étais «livrée» tout entière ! Corps et âme, sans aucune restriction. Mais il ne m’a rien dit. Il a fait comme il l’avait affirmé, sa sincérité apparente me jetant presque dans l’évanouissement, devant la porte de mon immeuble, juste avant de me porter dans ses bras jusqu’à cette chambre. Il m’a montré que le sexe sans l’amour, ce n’était rien : le vide, de la merde… le néant. Non, même le néant évoque quelque chose dans ma tête… Le meilleur mot c’est… RIEN ! C’est lui qui m’a tuée, avec son amour… Il a tué la part de moi qui s’appelait «Jenny», et j’ai compris, à cet instant, pourquoi jamais il ne m’avait appelée comme ça. L’avenir dira ...