Jennifer
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
jeunes,
copains,
grosseins,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
... que jamais il ne m’appellera ainsi. Et on a passé une bonne partie de la nuit à se prouver, mutuellement, notre amour. On a tout fait cette nuit-là. Il m’a fait jouir avec sa bouche, et sa langue, sur, et dans mon sexe. J’ai senti chaque aspérité de sa langue, sur chaque millimètre-carré de ma chatte. Il en a fait de même avec mon anus, me rendant hystérique, me faisant partir dans un million de feux d’artifices. Je lui ai fait «subir» la même chose, ou presque. J’ai fait l’amour à sa queue avec mes lèvres, mes dents, ma langue… avec ma gorge ! Moi aussi j’ai léché son anus. J’y ai même fait pénétrer trois de mes doigts, pour lui dire que rien ne serait jamais tabou, entre nous. Et puis, je suis retournée pomper sa bite dans le velours de ma bouche, tout en pistonnant son cul avec le sexe de mes doigts. Il a joui en s’agrippant aux draps, pleurant littéralement d’extase, et j’ai bu chaque goutte de sa semence. Je lui ai «rendu» une bistouquette toute propre, bien que luisante de ma salive, parce que j’ai attendu qu’il perde toute sa superbe, avant de le relâcher… à regret. Vautrés dans les bras l’un de l’autre, on est restés un long moment sans rien dire, à savourer notre bonheur… la tendresse… l’éternité de notre union que nous venions de nous promettre. Il a dû penser qu’il lui faudrait un long moment avant de récupérer, parce qu’il m’a demandé : — Tu veux me parler de Flo, mon amour ?— Maintenant ?— Oui… parce que tu m’as dit que c’était important, pour toi !— Tu crois ...
... que c’est le bon moment ?— Ben… j’sais pas… mais, j’crois que j’suis KO pour longtemps, là…— Merci… c’est très flatteur pour moi, ça !— Oh arrête, hein, tu sais très bien ce que je veux dire…— D’accord j’arrête… et puis, t’as raison… parce que moi aussi, j’suis un peu KO… Alors, je lui ai raconté comment j’ai connu Florence. Comment je l’ai écoutée me confier qu’elle avait fui de chez ses parents, avec seulement ce qu’elle avait sur elle comme bagage. Elle l’avait fait parce qu’elle avait peur que son père la tue, un jour où il aurait bu un verre de trop. C’était la première fois qu’un autre être humain que moi, m’avait «arrêtée», si vous voyez ce que je veux dire. Je ne pouvais pas la laisser dehors, parce que Dieu sait ce qu’il lui serait arrivé. Et puis, mis à part les coups et l’alcool, mon père n’était guère différent du sien, parce que pour lui, les gestes d’affections n’existaient pas. Oui, je sais que je suis dure avec lui, parce qu’il me permet de vivre assez confortablement en payant les factures et mes études, mais ça ne suffit pas, parce que je ne me souviens pas qu’il m’ait jamais prise dans ses bras, pour me prouver qu’il m’aimait… ma mère non plus, d’ailleurs. Après je l’ai installée dans la chambre voisine de la mienne, et que j’ai passé quelques nuits avec elle, elle s’est révélée intelligente, sensible… marrante. Bref, elle était une bonne colocataire. Elle se sentait fautive de vivre à mes crochets, bien que je lui dise que ça n’avait pas d’importance, alors ...