Jennifer
Datte: 01/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
jeunes,
copains,
grosseins,
amour,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
... mon subconscient. Parce que mes soirées, je ne les ai presque plus passées à chasser, mais dès qu’elle sortait, je me jetais littéralement sur son ordi, pour dévorer ses nouvelles histoires en me branlant comme une folle furieuse. Je le faisais même sur les anciennes, celles que je connaissais par cœur ! Oui voilà, c’est ça ! Maintenant que je vous raconte ça, en même temps que je le raconte à l’amour de ma vie, je comprends pourquoi j’ai arrêté de chasser les hommes. Parce qu’avec ses récits, elle a comblé le manque d’amour qui habitait mon cœur. Je n’avais qu’à m’imaginer dans la peau d’une des héroïnes, pour y remédier. De simples mots m’ont donné plus de plaisir que tous les hommes que j’avais rencontrés jusqu’à présent, à l’aide de mes mains, de mes doigts. Ah, je peux vous dire que le fauteuil dans lequel je m’asseyais était propre de chez nickel ! Parce que je m’empressais de le récurer à fond une fois mon affaire faite, pour faire disparaître toute trace suspecte. J’en aurais pleuré de honte, de me masturber comme une démente, trois ou quatre fois de suite chaque soir où elle n’était pas là. Ma vulve ressemblait à une pèche écrasée quand je l’abandonnais, proche du mal physique. Jamais elle ne m’a surprise. Mais moi, je la voyais maintenant rentrer très tard, traînant une odeur bizarre dans son sillage. De cela, je m’en fichais, parce que je voyais son visage. Je savais qu’elle allait pleurer encore une fois, seule dans sa chambre. Moi, j’aurais donné n’importe ...
... quoi pour qu’elle se confie à moi. Pourtant, elle devait savoir que je l’aurais consolée, comme elle l’avait si souvent fait pour moi, mais jamais elle ne l’a fait. Ça me rendait encore plus coupable de tirer du plaisir des récits qu’elle écrivait. Et il y a eu ce fameux soir où elle m’a cédé sa place devant l’écran. Je savais maintenant, comme une experte, où aller chercher ses histoires, et il ne m’a pas fallu longtemps pour dénicher les deux nouvelles, qu’elle avait écrites pendant mon absence. J’ai ouvert la première, en ai lu quelques phrases, et me suis dit : «Super… encore une histoire de lesbiennes !» J’étais sincère ! ô combien sincère… mais frustrée aussi, parce que ce soir, je ne pourrais pas me branler : je savais qu’elle était derrière moi, lisant les mêmes mots que moi, par-dessus mon épaule. Et je peux vous dire qu’elle avait mis le paquet ! Je ne sais pas comment elle s’était débrouillée, mais son histoire d’amour a viré au «crade»… tout en restant romantique, me tirant des gouttes de fièvre grosses comme des noyaux de cerises, au moins ! La souris tremblait maintenant dans ma main. J’aurais tout donné pour pouvoir la lâcher ! Il fallait que je la finisse au plus vite, parce que, comme ça, j’aurais pu aller «m’éteindre» dans ma chambre. Mais elle me disait d’y aller plus lentement, parce qu’elle lisait en même temps que moi. Si je m’étais doutée qu’elle avait su dans quel état j’étais, j’aurais pu croire qu’elle se foutait de moi. Enfin, je suis arrivée au mot ...