1. Chroniques immortelles (3)


    Datte: 02/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... tour immédiatement, occasionnant de nouveaux cris de douleurs. Si avec çà on n’a pas fait fuir les clientes... — Alors à samedi, dis-je essoufflée. Ouille. Mais… — Oui ma chérie ? — Comment on se libère de ces trucs maintenant ? — Ben…… — ……………… Samedi soir. Alex et moi avons fait une jolie table. L’apéritif et les amuse-gueule sont prêts. Pour la circonstance, j’ai mis une robe courte noire à dos nu, dentelle au bas de la robe et dentelle intégrale pour les manches longues. Tenue très sexy, sans être vulgaire et qui laisse deviner que je ne porte qu’un string noir et des sandales à talon assorties. Pascal et Magali arrivent, l’une avec une tropézienne pour le dessert, l’autre portant un bouquet de fleurs, c’est trop mignon. Les deux hommes sont assez classe avec leur chemisettes. Quant à Magali elle a mis une jupe courte et un haut à bretelles très décolleté. Le plus dur va être de faire semblant de se découvrir mutuellement avec Pascal en cachant notre nature. Je connais à présent la sexualité débridée des immortels, et comme Magali est une vraie coquine, pas la peine de se demander comment va finir la soirée. Et je pense également qu’on aura du pot si on arrive jusqu’au dessert avant que les choses ne dégénèrent ! Mais on y arrive quand même au dessert. L’atmosphère polie et réservée du début de soirée s’est un peu relâchée. L’apéritif d’abord, le rosé de Provence ensuite ayant fait leur œuvre, le vouvoiement du début à laissé place au tutoiement. On a parlé de tout et de ...
    ... rien, mais à présent on rigole beaucoup, car cette coquine de Magali a fait glisser progressivement la conversation sur leurs expériences libertines. Comme les deux hommes sont déjà au courant de nos petites séances d’arrière boutique, on leur raconte ouvertement nos jeux avec force détails. Et l’ambiance devient carrément très érotique. C’est en dégustant la tropézienne que la soirée a dégénéré. Vous connaissez la tropézienne ? Une brioche au sucre coupée en deux tranches séparées par une couche de crème à la formulation secrète. Parait-il. Je l’ai accompagnée dans les assiettes avec une boule de glace à la vanille, et une lichette de chantilly en bombe. Cette coquine de Magali s’amuse avec la crème, la faisant glisser sur ses lèvres avec des mouvements de langue suggestifs. Je ne vous fait pas un dessin... Oh la vache, tout s’est crispé en moi ! Comme je ne veux pas être en reste, j’attrape la bombe de chantilly et m’en garnit la bouche. Après quoi, je fais comme elle, laissant la crème couler lentement sur mon menton et oups !… Ma robe sera à laver… Magali rigole, elle en fait autant. Je ne lui laisse pas le temps de se livrer à une autre exhibition. Comme je suis assise à coté d’elle, je la prends dans mes bras et l’embrasse voluptueusement, langues nouées l’une à l’autre, fouillant dans la chantilly qui déborde et dégouline sur nos visages. Du coin de l’œil, je vois le regard amusé et gourmand des deux hommes qui n’en perdent pas une, et se sont reculés légèrement pour ...
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