1. Chroniques immortelles (3)


    Datte: 02/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... mieux profiter du spectacle. Un peu de chantilly a coulé sur l’encolure de Magali. Je me penche, la lèche, en profite pour mettre une main. Je tombe une de ses bretelles, découvre partiellement un de ses seins, dégage le téton. J’ai pris la bombe en main et y dépose une touche de crème que je m’empresse d’étaler et de savourer avec délectation. Oh là là, j’ai chaud, et Magali aussi. Elle me rend la pareille, ses mains dénudent mes épaule, rabaisse le tissu de ma robe, laisse apparaître mes seins, qu’elle suce et tète à tour de rôle comme avec pasion. En même temps, je fais glisser son haut sur sa taille, dégrafe son soutien-gorge. Je la redresse, l’embrasse, tout en frottant nos poitrines l’une contre l’autre. On jette un regard lubrique aux deux hommes. Ils ont laissé leur main disparaître dans leur pantalon et profitent du spectacle. — Oh les pauvres, dit Magali, on leur fait de l’effet. On ne va pas les laisser comme çà ? — Non ; mais il vont attendre un peu. Ils faut qu’ils soient bien excités et bien durs si on veut en profiter un max ! Les garçons, allez vous mettre sur le divan, on va s’occuper de vous après ! Je la fais lever. Ce soir c’est moi qui prend l’initiative. Je la débarrasse de son haut, fait glisser sa jupe et, oh ! Elle avait pas de culotte ! Elle achève de faire tomber ma robe, enlève rapidement mon string. J’ai saisi la bombe de chantilly, dépose une bonne giclée sur son torse, une autre dans sa bouche. On s’embrasse, on se colle l’une contre l’autre, on ...
    ... se frotte, on laisse glisser nos mains sur nos corps qui deviennent luisants de crème. J’ai trop envie d’elle ! Je me met à genoux, je l’attire au sol, je l’allonge. Oh, sa chatte déjà si humide, si généreuse, si luisante ! Je veux la bouffer, et je veux qu’elle me bouffe ! Je me met une dose de crème sur ma chatte, en met une autre sur la sienne. Je lui présente mon entre-jambe dans lequel elle presse fougueusement son visage. Je sens sa langue me fouiller. Ça m’électrise, je la veux ! A présent en soixante neuf, je me jette sur sa chatte, je m’y noie, je lance ma langue à l’aventure, nettoyant et récurant chaque recoin, caresses qui lui occasionnent spasmes sur spasmes. Et elle me les rend bien ! Je ne vais pas tarder à… Oh mon Dieu, je jouis ! Je pousse un long cri de plaisir pendant lequel je lui caresse frénétiquement son point sensible, et elle jouit à son tour. Nous reprenons notre souffle. On est assises cote à cote et on rigole. Les deux hommes ont bien profité du spectacle. On leur jette des regards espiègles. Ça fait un petit moment qu’ils ont sorti leurs queues de leur pantalon et qu’ils se branlent. Ils commencent à se déshabiller. Ils vont être à point. Il est temps de s’occuper d’eux. Je fais un signe à Magali. Nous avançons vers eux à quatre pattes comme des chiennes en chaleur, l’œil lubrique, se léchant déjà les lèvres. Je m’infiltre entre les jambes d’Alex, Magali entre celles de Pascal. J’ai gardé la bombe avec moi et la tend à Magali après m’être remplie ...
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