La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 640)
Datte: 02/08/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Le cheptel d'esclaves au Château (1/2) - C’était l’hiver au château. La neige avait étalé son long manteau blanc sur les vastes terres du domaine du Marquis d’Evans . Dans la grande salle du château, les ombres dansaient au gré des flammes brûlant dans l’impressionnant foyer, l’odeur du bois sec en feu répandant sa plaisante odeur jusque dans les longs et luxueux couloirs de cette immense demeure ancestrale, Assis à son bureau massif style Louis XV, le Marquis écrivait. La lumière déclinante par un soleil mourant en cette fin de journée n’était pas suffisante pour écrire, mais la vive lueur du feu était assez forte pour offrir au noble assez de luminosité à son bureau. Il écrivait sur son manuscrit, comme il le faisait tous les soirs depuis des années, décrivant une journée de domination, notant tout ce qui s’était passé. C’était un véritable journal de bord qu’entretenait Sir Evans. Il en était à sa 245 ème page, n’omettant aucun détail, car son expérience lui dictait qu’un rien en apparence insignifiant pouvait parfois révéler tel ou tel esclave à une certaine aptitude parfois insoupçonnée. Même s’il jouissait d’une TOTALE obéissance des membres de son harem, il aimait toujours pousser plus loin les limites (même si ses esclaves en avaient plus) dans l’avilissement. De grande taille, la soixantaine, ...
... les cheveux grisonnant Ses yeux noirs étaient vifs, et son visage sévère trahissait son caractère impérieux, son nez aquilin lui donnant un air autoritaire. Il était large d’épaules, et ses puissants bras étaient bâtis pour l’effort soutenu. Bref son charisme était craint de tous et sa seule présence impressionnait et imposait le respect. Il portait une riche robe de chambre noire en satin pure, brodée de fil d’argent, qui descendait jusqu'aux chevilles, quand il atteignit le moment qu’il estima d’arrêter son écriture de la soirée. Il nettoya sa plume, et boucha le pot d’encre. Il attendit quelques instants que l’encre finisse de sécher, puis referma le livre, caressant la couverture de cuir, les ferrures en laiton protégeant les coins. Il mit le manuscrit dans l’étagère appropriée, caressant le bois richement veiné, prenant un plaisir maintes fois renouvelé en la connaissance que son antre était doté des plus belles choses que ce monde pouvait offrir. Il aimait le bois vernis, il aimait les métaux les plus précieux. Il aimait les choses bien faites, le luxe, les dorures, la beauté des choses. Pour lui, le raffinement avait une élégance qui lui était propre. Il se versa un verre de porto, verre du plus beau cristal ciselé et mis le bouchon de cristal serti des initiales de sa noble famille sur la belle table du bar sculpté. Puis il alla à une des très hautes fenêtres, déplaça le lourd rideau de velours épais rouge bordeaux pour admirer les dernières lueurs orangées provenant du ...