La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 640)
Datte: 02/08/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... alla s’asseoir après avoir décadenassé la chaînette donnant libre passage au trône sculpté. A l’évidence, il était le seul autorisé à venir s’y installé. De suite deux esclaves femelles s’approchèrent. Elles avaient l’ordre et l’habitude d’agir ainsi à chaque visite de Sir Evans, elle se prosterna devant le Maître et présentèrent leur chaîne accrochée à leur collier. Le Marquis prit l’autre extrémité de chaque chaîne et l’attacha au pied du volumineux siège. Les deux esclaves femelles se mirent alors de chaque côté du trône à 4 pattes et dans cette position mainte fois répétée, elle présentèrent leur croupe nue et des plus arrondie au Maître. Telles de bonnes chiennes. Le Maître pris deux clés parmi le lourd trousseau qui pendait à sa ceinture et défit les deux cadenas tenant les ceintures de chasteté des 2 femelles. Ainsi, le fondement de 2 chiennes s'offrait sans pudeur à la vue du Marquis. Comme toujours, il sentit un frémissement de puissance, un sentiment de pouvoir absolu Oui, il était plus puissant que n’importe qui dans des moments pareils et tout était fait pour cela d’ailleurs. Ce sentiments fort de domination totale excitait la vingtaine d’esclaves composant son harem. Ils ressentaient tous, cette domination exercée sur eux. Et c’était l’extase pour ces esclaves tellement leur sentiment de soumission, d’humiliation était ancré dans leur âme et leur corps. Ils avaient la chance d’appartenir au Maître et savouraient à chaque instant cette appartenance…. Du haut de ...
... son trône, il pouvait sentir le désir profond de chaque esclave à une appartenance totale, à un abandon d’eux-mêmes, qu’elles et qu’ils avaient tous, bien ancrés en eux. Si tous ses esclaves étaient ici, c’était de leur plein gré, afin d’assouvir leurs pulsions de n’être plus que des esclaves à part entière et rien d’autre. D’appartenir au Maître, de devenir simple objet au bon vouloir du Marquis, tel était pour chacun d’eux leur désir le plus intime. Le Marquis dès le début leur avait laissé le choix à chacun de rester ou de partir. Pour celles et ceux qui ont accepté de rester, ils savaient tous, ce qui les attendaient. Personne n’a été pris au dépourvu, chacun savait à quoi il s’engageait en entrant dans le harem et tout ce petit monde à huis clos vivait en osmose totale. Les esclaves du Marquis étaient là, dans cette vaste salle où au fond contre les murs habillés de tentures et tapisseries de toile drapée épaisse et de couleurs claires était flanquée une volumineuse bibliothèque contenant les œuvres les plus précieuses et rares que ce monde pouvait assembler. Le Maître tenait à occuper son cheptel par la culture via la lecture. Certain esclave peu enclin à cette pratique faisait semblant d’étudier, de lire, alors que d’autres adoraient dévorer les livres les plus érudits. Une deuxième salle attenante à la première était équipée à outrance d’appareils à la pratique du sport et culturisme. Puis derrière encore une grille ouverte 4 heures par jour donnait sur des escaliers ...