Comment, à 18 ans, j'ai été perverti (8)
Datte: 03/08/2018,
Catégories:
Gay
... ressemblais, à l’état de femelle, sur ces clichés qui resteraient à jamais autant de preuves de ma perversion... J’eu un vertige. Lui, inquiet : "Ça ne va pas ? Tu veux boire quelque chose ?" Moi : "Oui, je veux bien, un peu d’alcool, mais pas fort". Je me mis dans ce beau canapé en cuir blanc et il m’apporta un fond de pineau des Charentes. Il en pris aussi. Après avoir trinqué et bu quelques gorgées, je me sentis mieux. Roger semblait gêné, peut-être regrettait-il ? Lui : "Regarde sur la table basse." Il y avait un album intitulé "Gustave – 1983" Lui : "Tu veux regarder ?" J’inspirai un grand coup et me saisi de l’album. Je l’avais dans les mains mais ne l’ouvrai pas, comme si j’avais peur de ce que j’allais y découvrir... Lui : "Il y a 117 photos ! Ça m’a pris une semaine pour toutes les développer ! Elles sont super bandantes, pour moi.... et très jolies pour certaines... tu es vraiment photogénique !" J’étais une nouvelle fois impressionné, impressionné d’être si intéressant pour cet homme, contrairement à mon père qui n’avait que peu d’intérêt pour moi, et les filles qui semblaient ne pas me voir, pour qui j’étais transparent, du fait de ma petite taille, je suppose... Après une nouvelle grande inspiration, j’entrouvris l’album... La première photo me montrait nu, forcément, puisqu’aucune photo n’avait été prise de moi habillé, à genoux, les mains derrière la tête baissée, prise de haut. C’était, graphiquement, magnifique, en noir et blanc. Roger était assis à côté de ...
... moi dans le canapé. Il m’observait. Il compris que j’étais ému par la beauté des clichés. Ceux-ci, d’abord soft, devenaient de plus en plus hard au fil des pages. Il régnait un silence pesant. Je m’aperçu soudain que j’étais à l’étroit dans mon short. On voyait en gros plan ma bouche distendue par la queue de Roger. Je n’osais pas tourner la tête, croiser son regard, dire le moindre mot, mais j’étais excité, j’avais envie de sa queue, en vrai et non en noir et blanc... Lisant en moi comme dans un livre ouvert, il se leva, me fit face et fit glisser son peignoir à ses pieds. Elle était là, sa queue, dressée devant mes yeux. kpakeo Je posai l’album à côté de moi, à l’envers pour ne pas perdre la page. Sans un mot, je me penchai en avant et gobai son gland. Qu’il était bon ! Qu’il m’avait manqué ! Roger me prit la tête à 2 mains, m’ordonna de mettre les miennes dans mon dos, et imprima le rythme de sa possession buccale. D’abord lentement et peu profond, puis de plus en plus ample et rapide. Je bavais sur mes cuisses. Il forçait à me déclencher des hauts-le cœur. Il voulait enfoncer ses 20 centimètres en entier dans ma gorge... Lui : "Alors, elle te plaisent ces photos ? Tu voudrais en faire d’autres ?" Pourquoi me posait-il des questions alors que je ne pouvais pas répondre ?! On ne parle pas la bouche pleine ! Lui : "J’ai déversé des litres de foutre à me branler sur tes photos ! Tu as un corps de rêve super excitant ! Je ne m’en lasse pas de m’exciter sur ton cul grand ouvert ...