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Jenna se joue au poker (5)
Datte: 27/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme
Les mains attachées dans le dos et la robe troussée autour de la taille je me débats et essaie de me libérer. Impossible avec les mains liées et mes bottes à talons hauts ! Mes fesses sont écartées et massées. La sensation de plaisir est intense. Maurice me dit : « Sois bonne joueuse, tu as perdu, maintenant il faut payer. » Sur ce, il ouvre son pantalon pendant que les trois autres m’attachent à nouveau penchée en avant. Mon bas-ventre repose sur le tronc d’arbre tombé en travers du chemin. Mes talons hauts relèvent ma croupe qui se retrouve bien offerte. Maurice se place face à mon visage. Il fouette mon visage avec sa bite. Je pousse un cri d’effroi : « - Je ne suis pas ce genre de femmes » m’exclamé-je avec un reste de dignité. Je sens un coup de ceinture déchirer mes fesses et pousse un cri : « - Eh bien voilà Jenna, tu vas comprendre ! Soit tu obéis, soit tu vas avoir mal et nous savons infliger la douleur » J’oscille entre plusieurs états. D’une part le vibro me rend folle de plaisir. D’autre part j’ai peur et je n’ai pas envie d’être brutalisée. Mais aussi il y a ce vieux fantasme qui remonte secrètement. Brisée je penche la tête en avant et gobe la bite de Maurice. Elle est bien raide déjà. Il voit que je ne suis pas experte à ce jeu, et s’emparant de mes cheveux, il bourre sa bite bien au fond de ma bouche. La joue d’un côté est déformée par une bosse. Quelle image incongrue : la femme hautaine et classe en train de sucer un homme dans les bois ! Lionel lui ne ...
... peut pas tenir plus longtemps. Il enlève le vibro. Sans hésiter il se met bien en place debout derrière moi : « - C’est l’heure de saillir la pouliche » déclare-t-il en riant. Il glisse son sexe dans ma chatte. Je suis trempée mais encore serrée. Cela lui importe peu car il veut juste me baiser et me souiller. Sa queue est vite rentrée entièrement en moi. Je couine mais fais attention de ne pas mordre Maurice. D. qui a cessé de me fouetter rageusement regarde, attendant que je sois bien relâchée et écartée. En se comparant à ses acolytes il voit qu’il est bien mieux gâté dans ce domaine et il veut montrer aux autres qu’il va me détruire. C’est d’ailleurs ce qu’il annonce presque solennellement aux autres. Je hurle de terreur en entendant tes paroles : "Oh non pitié, pas par là… Oh non… guuuuurrgggg" L’homme remet sa bite en place. Il attrape ma tête et bourre ma bouche avec sa bite de plus en plus vite. Ils voient mes yeux grands écarquillés, mes narines qui s’élargissent. Je sais ce qu’il va faire, ce que personne n’a jamais fait avant. Il grogne "Oh la salope, elle m’excite trop avec ses bottes… ! Ooohh quelle salope, prend ça… ! Ahhhhhrrrrrhhhhh !" il ne peut se retenir plus longtemps : sa bite gicle toute sa semence dans ma bouche. Je n’avais jamais laissé un homme jouir dans ma bouche. Je crache autant que je peux ce jus acre et poisseux. Maurice rigole : "Oh la pauvre princesse ! Pourtant, vu comment elle se pavane et aime attirer les hommes, elle doit aimer tailler des ...