1. Jenna se joue au poker (5)


    Datte: 27/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pipes. Allez montre-moi ma belle comment tu fais. " Comme je résiste et serre la bouche, je reçois deux nouveaux coups de ceinture sur les fesses. Pleurnichant je prends sa grosse queue dans ma bouche. Il prend un rythme intense et commence à me baiser la bouche. Je sens un homme qui se met derrière moi. Il me tient par les hanches et enfile son membre dans ma chatte. Je me tends, me tords mais il me pénètre. "- Putain elle est serrée, oh la vache ! Hahhrrrr… tiens !" Il pousse plus fort et rentre tout son membre en moi. C’est Lionel qui en a marre d’attendre. Il me monte en me bourrant la chatte à grands coups de reins. Je suis embrochée et ne peux rien faire. Il est gros et passe bien sur mon point G. Je ne peux m’empêcher de devenir plus excitée. Il me prend de plus en plus vite ce qui me pousse sur la bite de Maurice. Je couine et grogne. La scène excite tout le monde. Lionel est fougueux. D. l’encourage à m’ouvrir la chatte bien à fond. Je suis à leur merci. Je sens Lionel lâcher sa semence bien au fond de moi. Il se retire pour laisser place à Jean-Edouard. Quelle humiliation ! Celui-ci est encore mieux équipé. Il me bourre comme une bête. Je suis là, vêtue de ma lingerie et mes bottes comme dans mes fantasmes. Je couine et pleurniche car je sens ce que je ne croyais pas possible. Soudain je suis submergée. Je me tends, me raidis, mes yeux roulent en arrière. Je suis en train de jouir sous les coups de pine d’un inconnu qui me baise. Tout le monde est ravi. ° ° ° ...
    ... hqhiime Lionel est furax d’avoir joui si vite. Je crois qu’il avait d’autres idées en tête… mais trop tard. Je le remplace : je me positionne au cul de la salope, la queue bien dressée, et sans avoir besoin de viser ni de prendre de précautions – sa chatte est baveuse, les lèvres bien ouvertes, comme une pouliche en chaleur qui a perdu tout contrôle – je l’enfile d’un seul coup et jusqu’au fond ! Elle pousse un long feulement, qu’on entend car ça se passe au moment où il y a un changement de queue dans sa bouche de grosse pute. Je l’attrape par les seins, à pleines mains, je me mets à presser ses grosses mamelles comme des outres, les tire à fond, je les essore… Un des acolytes rigole : « - Eh bien dis-donc, tu n’y vas de main morte sur ses gros nichons… ! Continue et à ce rythme-là, si on fait tous comme toi, ils lui tomberont sur les cuisses ! » Je ne me laisse pas distraire par sa réflexion, mais au contraire, plus excité que jamais je me mets à lui pilonner la chatte : je lui envoie de vrais coups de boutoir, des coups de bélier comme si je voulais enfoncer une porte et la faire céder… Je suis certains qu’on ne lui a jamais défoncé la chatte de la sorte ! Elle beugle, essaie de ruer, d’échapper à cette saillie bestiale… mais en même temps elle a l’air de prendre son pied comme jamais… Et ça doit être une double source d’humiliation pour elle : être ainsi notre objet, être pareillement avilie, baisée comme une pute à dockers à grands coups de pine et sans ménagement …et aimer ça ...