L'animal qui est en toi
Datte: 05/08/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
vacances,
parking,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
... le cheveu gris et hirsute et, à ma grande surprise, bien loin de s’en prendre à Jennifer, elle commence à m’insulter moi, sous prétexte que l’on n’a pas idée de laisser sa femme faire des choses pareilles. Complètement cueilli par la réaction de la vieille, un mince éclair de lucidité m’empêche toutefois de l’envoyer chier dans les grandes largeurs. Ce n’est pas l’envie qui m’en manque pourtant, et j’essaie de la calmer, lui disant que ce n’est pas ma femme, que je n’y suis pour rien – ce qui est partiellement vrai, après tout – avant qu’elle ne rameute tout l’hôtel. Et pendant ce temps, Jennifer, complètement écroulée de rire bien que toujours aussi nue, m’attend sagement à la porte de la chambre. Que voulez-vous, les porte-jarretelles n’ont pas de poches, et les clés, c’est moi qui les ai… Alors, tandis que j’essaie de dompter le dragon, je lui lance les clés, qu’elle laisse tomber sur le sol. Comme de bien entendu, elle s’empresse de me tourner le dos pour les ramasser, mais en prenant bien soin de ne pas plier les genoux, et son délicat abricot, aux lèvres entrouvertes et luisantes de mouille, apparaît dans l’encadrement de ses jambes interminables et gainées de noir. Arrgggh… Et cela n’en finit pas… Pour cause, elle me regarde du coin de l’œil, ce qui n’est pourtant pas la meilleure méthode quand on veut ramasser quelque chose sur le sol. Cinq minutes plus tard, j’ai enfin réussi à me débarrasser de cette vieille emmerdeuse, et Jennifer a enfin consenti à rentrer dans ...
... la chambre. Mais quand j’y entre moi-même, c’est pour la retrouver, toujours dans la même tenue, allongée sur le lit et les jambes largement écartées. Non, elle ne se masturbe pas, elle joue simplement avec les poils de son pubis. À mon avis, l’alerte de la nuit précédente lui a ôté l’envie de recommencer, pour le moment tout du moins. — Bon, tu préfères me baiser, moi, ou la baiser, elle ? Je n’attends que ça, tu sais… Si l’altercation avec l’autre buse, là, dans le couloir, avait quelque peu calmé mon érection, la voilà repartie de plus belle. J’essaie de noyer le poisson. — Attends, laisse-moi te regarder quelques instants… Tu es si belle… En fait, je suis un bel enfoiré, puisque je m’assieds sur le lit, juste à côté d’elle, et je commence à la caresser doucement. Je commence par passer le revers de ma main sur son ventre nu, puis je remonte doucement vers ses seins, dont les pointes déjà dardées depuis longtemps semblent frémir. Je la sens brûlante de désir, un peu comme si sa petite démonstration d’il y a quelques minutes lui avait fait autant d’effet qu’à moi. Alors, ma main redescend doucement vers son buisson ardent, traîne sur ses jambes pour mieux la faire languir. Dans la position où elle est, rien ne peut m’empêcher d’accéder à son sexe, c’est d’ailleurs tout ce qu’elle demande. Pourtant, elle prend certainement un gros risque, et ce n’est pas sa chatte, qui s’entrouvre d’elle-même, qui me dira le contraire. Lorsque je vois apparaître son bouton d’amour qui semble ...