L'animal qui est en toi
Datte: 05/08/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
vacances,
parking,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
... prouvent les mouvements de son bassin qui deviennent de plus en plus désordonnés, de plus en plus aléatoires. Elle cherche visiblement à me garder au plus profond d’elle-même, mais elle ondule, frotte son pubis contre le mien, de nouveau elle m’écrase la tête contre ses seins, tandis que je presse ses fesses à pleines mains. Cette fois, j’en suis sûr, c’est elle et elle seule qui gère notre plaisir à tous les deux, elle s’arrête d’ailleurs un instant comme pour s’assurer que je vais bien, puis reprend son petit manège sur ma queue. Cela ne dure qu’un court moment, juste le temps de repartir à l’assaut en une cavalcade frénétique. Haletante, elle gémit doucement, toujours au seuil de l’orgasme mais s’y refusant obstinément. Mais, au bout de quelques minutes d’une chevauchée démentielle où je m’efforce de rester stoïque, la fatigue vient à bout de sa résistance, elle cède au plaisir dans de longs cris, et jouit voluptueusement pendant des instants qui me semblent une éternité. Son orgasme manque bien de déclencher le mien mais, je ne sais trop comment, je parviens quand même à me retenir. Sans bouger, je la laisse finir de savourer chaque bribe de jouissance sur mon pieu tendu. De nouveau, le silence. Pas un bruit. Soit cette partie de l’hôtel est vide, soit les personnes qui y logent sont toutes complètement sourdes. Il vaut mieux d’ailleurs, parce qu’avec les cris de Jennifer… Mais, puisque personne ne semble venir, autant profiter de l’instant présent. Tandis qu’elle ...
... redescend doucement parmi nous, j’en profite pour admirer son corps splendide, couvert de sueur, ses seins gonflés et arrogants mis encore plus en valeur par sa position cambrée. Et puis, il y a son visage adorable, voilé partiellement par ses cheveux défaits, et ce regard qui porte encore en lui l’expression rayonnante du plaisir… Je la caresse tendrement, la queue toujours fichée au fond d’elle, tandis qu’elle reprend doucement ses esprits. — Tu vas me rendre dingue… Ça, c’est fort probable, me dis-je. Reste à savoir lequel des deux va perdre la raison le premier, et je ne parierais pas que ce soit elle… — Mais toi, tu n’as pas joui, demande-t-elle soudain, inquiète. Tu n’as pas joui en moi…— Peu importe, la soirée n’est pas encore finie…— Nanan, tu ne vas pas t’en tirer comme ça… Elle se déboîte alors de moi, m’embrasse fougueusement puis descend doucement, parcourant mon torse de sa langue. Elle arrive rapidement jusqu’à mon ventre, se met de nouveau à genoux sur le tapis de haute laine, et approche sa tête de mon entrejambe. Là, elle caresse les poils à la base de mon sexe qui pointe toujours vers le ciel, avant de le prendre en main, tandis que de l’autre elle s’empare délicatement de mes balloches, exactement comme elle l’avait fait l’avant-veille. De toute évidence, c’est à son tour de me faire languir, comme en témoigne cette façon qu’elle a de couvrir mon gland de mille petits baisers, tout en l’effleurant à peine du bout de sa langue pointue. L’exercice dure un long ...