L'animal qui est en toi
Datte: 05/08/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
vacances,
parking,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
... dormir ou simplement à me débarrasser de ce manche de pioche qui pourrait bien faire office de cadran lunaire. Alors, je me retourne, et j’essaie de penser à des choses chiantes. Comme cette fois où je me suis démerdé comme pas possible, où j’ai cavalé comme un dément pour pouvoir conduire mes gosses au judo et finir par les trouver scotchés devant un dessin animé débile, leur mère – pourtant prévenue auparavant – ayant simplement oublié l’heure. Toutes ces fois où, quand t’as passé une journée de merde, comme cela arrive quelquefois, on vient te bassiner les couilles avec des problèmes parfaitement insignifiants ou qui pourraient très bien attendre une demi-heure pour être résolus. Le quotidien, quoi… En tout cas, ça semble marcher, Marcel s’est enfin dégonflé et je ne risque plus de faire des trous dans le matelas si d’aventure je m’endormais sur le ventre. Un tantinet apaisé, même si une barre continue de me traverser le ventre et que j’ai toujours aussi mal aux joyeuses, le sommeil me prend. Mais il est de courte durée. Là, à côté de moi, quelque chose est en train d’arriver. Le temps d’ouvrir un œil et d’émerger, je me rends compte que Jennifer a commencé à se caresser – ou si elle fait semblant, c’est bien imité – en faisant juste assez de bruit pour me réveiller. Elle est toujours nue, a repoussé le drap au maximum pour que je la voie tout entière, chose d’autant plus facile qu’elle a carrément allumé la lampe de chevet. Elle a introduit deux doigts de sa main ...
... droite dans sa fente qui, cela s’entend, est déjà complètement détrempée, tandis que ceux de la main gauche courent sur son clitoris. Puis, délaissant son trou mais tout en continuant d’astiquer son bouton d’amour, sa main libre se met à jouer avec la pointe de ses seins, qui n’avaient pas besoin de cela pour pointer vers le ciel. De toute évidence, elle en rajoute un peu, comme en témoignent ces bruits humides que ses doigts font en entrant et sortant de sa chatte. Comme, bien sûr, elle en profite pour se tortiller comme un ver, même si ça sent bon le chiqué, l’effet est quand même assez saisissant, au point que je me retrouve de nouveau instantanément au garde-à-vous. Bien entendu, après trois minutes de ce manège elle fait mine de se rendre compte que je suis réveillé, mais, bien loin de me jouer le coup de la jeune fille surprise la main dans la chatte, elle reprend de plus belle, son regard planté dans le mien. Après avoir joué quelques instants avec ses seins, les rapprochant pour se donner l’impression d’une énorme poitrine, sa main repart à la rencontre de sa fente, toujours aussi trempée à ce que j’en entends. La meilleure des solutions dans le cas qui est le mien serait de tourner le dos et d’essayer de penser à autre chose, mais je n’arrive pas à détacher mon regard de ses doigts qui ne cessent d’aller et venir dans son entrejambe. — Ça te plaît, ça, hein ? Bien entendu, je ne réponds pas. — Attends, tu vas pouvoir mieux voir… Et, le plus simplement du monde, elle se ...