1. Comme ma femme, je suis une salope. (1)


    Datte: 05/08/2018, Catégories: Gay

    Je vous ai conté comment j’avais découvert la carrière d’actrice X de ma femme puis comment j’avais facilement glissé vers cette activité sexuelle débridée. Depuis je joue des rôles de salope et me fait défoncer à tour de bras. Mais j’avais moi aussi un secret que j’ai révélé depuis à ma chère femme et amie un jour où elle s’étonnait des mes performances anales. En fait je me défonce. Seul, en secret. Je n’ai jamais parlé de ça à personne pendant 3 ans. Quand j’étais seul à la maison, je m’enfilais tout ce que je pouvais. Je me branlais face à la grande glace du couloir en me baisant et je prenais un plaisir incroyable. Au collège puis au lycée ce n’était pas les copains qui m’attiraient mais leurs queues. Je n’avais aucune attirance particulière pour les garçons, j’aimais la sodomie c’est tout. Je ne nierai pas que j’étais curieux de connaitre la sensation de sucer mais ce n’était pas la priorité. Et puis je me sentais vraiment salope. J’avais des copines. Je les aimais bien mais c’était trop sage. Moi je voulais (déjà !) du hard. Plus tard, assumant un peu plus mes penchants, je me fis moins discret sur mes goûts que j’avais finalement moi même accepté. Je savais qu’un gars, que je connaissais assez bien car nous étions voisins, en pinçait pour moi. Il me donna un rendez-vous au bord de la rivière. Il avait toujours des revues porno de tous genres mais beaucoup de gay. J’étais arrivé le premier et je voulais tester mon pouvoir de séduction sur lui, mon talent de salope en ...
    ... fait. Je m’étais donc mis en slip. Quand il arriva, il m’excita tout de suite et je vis très bien qu’il matait mon petit cul. D’autant plus que prétextant vouloir bronzer, j’avais roulé les côtés ce qui me faisait un genre de string. Le slip était en coton blanc. Lui était en short de sport et débardeur, plutôt sexy. Il s’était installé à côté de moi. Immédiatement il se mit à me mater discrètement. Nous discutions un peu mais il y avait de la tension dans l’air. Il faisait très beau et chaud. Je me levais. Il regarda mes fesses rondes. — J’ai envie de me baigner, dis-je, en approchant de la berge qui en pente douce menait à la anse où nous avions tous nos habitudes. Je savais qu’il matait mon cul. J’entrais dans l’eau fraîche et m’immergeais vite. Je savais que mon slip blanc une fois mouillé ne cacherait plus grand chose. Je ressortis aussitôt. Il bandait tout en essayant de le cacher. Et moi je faisais tout pour qu’il bande encore plus. Il matait maintenant mon entrejambe où ma bite en semi érection était parfaitement visible. Puis je me rassis face à lui en tailleur, cuisses bien écartées. — Ton slip ... — Quoi ? — Tu devrais le retirer sinon il ne sera pas sec. — Tu as raison, si je rentre comme ça, ça se verra. Et m’allongeant dans l’herbe je le retirais. Il était tout rouge et contemplait ma queue lisse qui était maintenant bien bandée. — Tu n’as pas de poils ? — Non aucun. — C’est beau comme ça. Je restais allongé. Les jambes pliées et les pieds écartés. Il ne quittait ...
«123»