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Comme ma femme, je suis une salope. (1)
Datte: 05/08/2018, Catégories: Gay
... pas mon bassin des yeux. Je fis tout pour que mes fesses s’entrouvrent et qu’il puisse apercevoir mon oeillet lisse aussi. — Je peux te toucher ? — Oui bien sûr. Fais ce que tu veux. Il manquait de s’étrangler. Je me demandais si mon attitude faisait bien salope. Il posa sa main sur mon genou et à genoux à côté de moi poursuivit sa caresse vers mon ventre. Je frisonnais. Ses doigts étaient maintenant sur mon ventre à quelques centimètres de ma bite tendue. J’ondulais lentement pour lui montrer que j’aimais. Sa main glissa sous ma cuisse et il caressa ma fesse près du périnée. Je bougeais, écartais encore mes pieds. Mes fesses s’ouvrirent encore. — Tu m’excites, c’est bon dis-je pour l’encourager. — Toi aussi tu m’excites, dit-il la gorge nouée d’excitation. C’est comme dans mes revues, j’adore. Le bout de son doigt caressait le côté de ma raie. Il était très doux et se maitrisait bien. Moi j’ondulais et gémissait dès qu’il effleurait une nouvelle parcelle de peau. Il effleura mon oeillet. Mon bassin se cambra. — Tu as vraiment un beau cul. Il se redressa et me fit brutalement ramener les cuisses sur le ventre pour s’offrir la vue sur mon cul cette fois totalement exposé. Il semblait fasciné. rhvrppzs Il me leva le bassin rapprochant mon cul de son visage. Je ne reposais plus que sur les épaules. Ma bite tombait vers moi et le compas de mes jambes était grand ouvert. Il avait mon anus en point de mire. Il plongea. Sa langue lappa mon oeillet. C’était la première fois ...
... évidemment. Quelle délicieuse caresse. La pointe tournait de ma pastille brune. Ma bite coulait vers mon visage. Je voyais ce filament translucide, brillant au soleil, tomber lentement vers ma bouche. J’étais à l’époque très souple. Il força du poids de son corps. Mon gland approchait de mon visage. Enfin il commença vraiment à me bouffer le cul. Je ne cessais de manifester mon plaisir. Je lui attrapais même la tête pour qu’il aille encore plus profond. Je sentis sa langue pénétrer un peu dans ma grotte. Il s’appuya encore sur moi et, Ô miracle, je parvins à me lécher le gland. Il ouvrit de grands yeux et se redressa. — Tu es vraiment chaud toi ! Il appuya encore et je pus sucer mon sexe. Je découvrais cette sensation et pensais que j’étais une super salope. Il le pensait aussi. Il se redressa me tenant le cul en l’air. — T’es vraiment une pute. Tout le bahut le sait. Il replongea sa langue m’arrachant de nouveaux soupirs. Il me tenait tellement bien que je pus écarter mes fesses de mes mains. Ce qu’il venait de me dire m’excita encore plus. — Baise moi maintenant, tu m’as trop excité, lui soufflais-je. — Mais j’ai jamais fait ça ! Il paraissait apeuré. — Tu m’as bien leché le cul. — Oh oui j’ai aimé. Il baissa son visage et la pointe de sa langue effleura encore mon anus hyper sensible. — C’est trop boooon. — J’ai adoré quand tu t’es sucé la queue. C’est trop fort. — Baise moi pendant que je me suce alors. — Putain oui. Il cracha sur mon orifice et se releva et se plaça pour me ...