1. Adeline petite soeur (6)


    Datte: 27/07/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    Le soleil dardait de ses rayons lorsque nos yeux s‘ouvrirent le lendemain matin. Quand Adeline ouvrit ses grands yeux bleus, je la regardais déjà depuis un long moment. J’adorais faire cela, elle était belle, si belle, et malgré tout ce qui pouvait se passer, elle resplendissait d’innocence et de pureté. Je déposai un baiser sur ses lèvres : « Tu as bien dormi ma chérie ? — Oui. Mais il est quelle heure ? — Huit heures et des poussières. Il fait déjà super bon dehors. On va déjeuner ? Le self du camping sert jusqu’à neuf heures. » Elle se vêtit d’un autre maillot de bain deux-pièces, dans les tons fuchsia. Elle savait bien que c’est celui que je préférais et je m’en délectai forcément. Elle remit son paréo sur ses jolies hanches et nous gagnâmes le self. Les regards n’avaient pas changé depuis la veille, et même si Adeline ne faisait rien pour attiser tant de convoitise, force était de constater qu’elle produisait un effet dévastateur sur la gent masculine présente. Le gérant en personne vint nous saluer et s’enquit de notre première nuit. L’ayant déjà mis mal à l’aise la veille, ma petite sœur en remit une couche : « La nuit de noces est consommée ! » Il se mit à rougir, n’imaginant pas que la réponse à sa question puisse être interprétée autrement, puis il prit congé pour aller saluer d’autres clients. Tout en mangeant son croissant, Adeline me demanda : « Tu m’emmènes où alors ? — Toujours aussi pressée à ce que je vois. Un peu de patience, tu verras ça cet après-midi. Ce ...
    ... matin on va aller se balader en ville. Il n’y a que quelques minutes de marche, et je t’emmène d’abord faire les boutiques. — Ça va te coûter une fortune ici, je ne veux pas que tu te ruines pour moi. Les vacances, c’est déjà bien tu sais, je n’ai pas besoin de plus. — Ne t’inquiète donc pas, je ne fais rien qui aille au-delà de mes possibilités. — Ai-je le choix, de toute façon ? — Non, en effet. » Regagnant le bungalow, elle mit un tee-shirt court, si court qu’il finissait à peine au niveau de sa poitrine et laissait une superbe vue sur son ventre. Se parant d’un chapeau et de ses lunettes de soleil, nous prîmes le chemin de la ville comme convenu. Tout en marchant main dans la main, enfin nous savourions chaque mètre parcouru de cette façon. Nous pouvions enfin nous laisser aller au grand jour, sans nous cacher. Et même si ce n’était qu’illusoire, éphémère, cela suffisait à notre bonheur. Adeline craqua sur un joli maillot de bain dont je me demandais si le haut pouvait vraiment cacher ne serait-ce qu’une petite partie de la poitrine. Notre mère aurait certainement crié au scandale, mais pas moi. Elle l’essaya dans une cabine et ce fut une chance d’être dans un magasin, sans quoi les murs de celle-ci auraient tremblé autant que ceux de notre bungalow la veille. Passant ensuite devant une bijouterie, c’est moi qui m’y arrêtai. Adeline me regarda curieuse et je lui dis tendrement : « Je t’aime, mais sans tomber dans le mélodrame, tu sais que nous ne pourrons pas nous marier, ...
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