1. Adeline petite soeur (6)


    Datte: 27/07/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... lança : « Tu vas attendre un peu, je vais me baigner, mais tu dois rester comme ça ! » et elle me planta là, la queue dressée pleine de sa mouille. Je la regardai entrer dans l’eau, croiser sans ciller le couple qui se tapit dans l’eau comme pris sur le fait d’une bêtise. A mesure qu’elle avançait, je voyais son corps disparaître peu à peu, sa croupe de feu être engloutie par les flots méditerranéens. Le couple revint sur la plage, et l’homme me dit en passant : « Très belle femme. » Et la sienne d’ajouter : « Et très belle queue... » Il faut dire que je n’avais pas débandé, et étant fixé sur ma sirène, il n’aurait pu en être autrement. Elle sortait de temps à autre sa belle poitrine en me narguant, mais je ne bougeais pas. Et soudain, elle me fit signe d’un doigt afin que je la rejoigne, ce que je fis en toute hâte, la queue toujours dressée. Il ne se dit aucun mot, aucune suggestion, mais l’évidence même apparut dès que nos corps furent en contact. L’excitation couplée avec l’impatience fit que nous recommençâmes ce qui s’était passé la veille, à la différence que nous pouvions nous lâcher pleinement et profiter de cet instant particulier. J’avais vue sur la plage, et le couple qui nous avait observés faisait maintenant de même ; nous avions juste interverti nos places de départ. Adeline me demanda de retourner sur le sable. Sans que je quitte l’intérieur doux et chaud de sa petite chatte, je la portai donc jusqu’à notre serviette. Je m’allongeai sur le dos et, assise sur ...
    ... moi, elle continua de s’empaler littéralement. La barrière était brisée, elle était libre, nous étions libres, et c’était non seulement un plaisir de le dire, mais aussi de le vivre. Je posai mes mains sur sa poitrine ; elle mit les siennes dans ses cheveux, se lâchant totalement. Plus rien n’existait autour de nous : le monde entier pouvait nous voir, cela n’avait pas d’importance. Nous n’étions pas en train de baiser ; non, nous faisions l’amour tout simplement. J’eus même cette sensation ressentie lors de notre première fois ensemble. Je couchai alors ma bien-aimée sur le dos et, quand elle ouvrit les yeux pour me regarder, je ne pus constater que l’évidence même de mon ressenti. Comme souvent, notre orgasme arriva de concert, et dans un soupir commun nous nous écroulâmes. Quelques minutes après, le couple avec qui nous avions « partagé » la plaisance d’un moment chaud s’approcha de nous, toujours dans le plus simple appareil. « Nous ne voulons pas vous déranger, nous dit la femme, mais nous tenions à vous dire que vous nous avez rappelé des souvenirs rien qu’en vous voyant. Vous êtes très amoureux, ça se voit, et nous tenions à vous le dire sans arrière-pensées. » Nous les avons remerciés et ils sont repartis. Je suis resté pantois, ne sachant vraiment trop quoi en penser. Adeline était dubitative mais me sourit avec le regard empli de cet amour dont on venait de nous gratifier avec beaucoup d’empathie. Si le paradis avait existé, même juste l’espace d’un simple instant, ...