Souvenirs, souvenirs, ...
Datte: 27/07/2017,
Catégories:
hh,
hhh,
jeunes,
inconnu,
Masturbation
intermast,
facial,
Oral
69,
préservati,
double,
hdanus,
hsodo,
La porte du garage bourdonna et se leva en grinçant. Je revenais chez nous … enfin chez moi maintenant. Il était prévu que Luc, mon compagnon depuis 5 ans, déménage pendant la longue mission de 15 jours que j’avais effectuée dans le sud de la France. Nous nous séparions presque sans heurts, presque sans cris, presque sans larmes … une sorte de « divorce à l’amitié ». Nous avions convenu de ce qu’il prendrait, je lui faisais confiance. J’engouffrai la voiture dans le garage souterrain pour la parquer à son emplacement sagement numéroté. Après avoir pris mes bagages, je me rendis vers l’ascenseur pour me rendre à notre étage … non, mon étage. Je me regardai dans le miroir de l’ascenseur. J’avais le teint cireux et des poches sous les yeux. Il était plus de minuit et je n’avais par réussi à dormir dans ce petit avion bruyant. Je fis tourner la clef dans la serrure de la porte d’entrée et les 4 verrous jouèrent simultanément dans un claquement sec. Je remarquai tout de suite qu’il manquait le guéridon de l’entrée. En entrant dans la salle de séjour, j’avais l’impression que nous avions été cambriolés et que j’allais trouver mon m…, Luc, un peu hagard, faisant l’inventaire des objets dérobés. L’appartement était silencieux, vide … étranger. Après avoir réparti les bagages dans les pièces où j’allais les vider, je me déshabillai rapidement sans prendre le temps d’une douche, ni de regarder la tonne de courrier qui m’attendait et d’écouter les messages du répondeur. Je me couchai ...
... dans notre, mon, grand lit, sur l’unique oreiller. J’éteignis la lumière et je n’avais qu’un désir, me plonger dans un sommeil sans rêves. Je n’arrivais pas à m’endormir car je pensais déjà au lendemain. Je devais ranger l’appartement, le reconquérir. Il faudrait passer à la banque, chez un marchand de meubles norvégiens ou suédois, remplir le frigo … Ma main se posa sur mon sexe à la recherche d’une trace d’excitation. Il n’y avait rien. Je me caressai lentement et ma verge réagit rapidement … comme d’habitude. Sans me fixer sur un de mes fantasmes favoris, je fis aller et venir ma main fermement sur mon manche. La montée de la volupté me donna l’envie de me caresser les tétons que je tordis un peu violemment. J’avais envie de jouir vite. Je poussai un petit cri, mon corps ondula rapidement au rythme de ma main. Je repoussai les draps et couvertures. Tandis que je me caressais d’une main le torse en m’attardant sur les tétons, mon autre main allait et venait rapidement. Je me tendis et la semence se déversa sur mon ventre. Après avoir essuyé le sperme, je fermai les yeux et je m’endormis rapidement. J’étais libéré de la tension du retour dans cet appartement, tronqué et amputé d’une partie de ma vie Le lendemain, à la lumière du jour, l’appartement me parut encore plus vide. Après un petit déjeuner pris devant une émission de télé anesthésiante, j’entrepris de vaquer à reprendre le cours de ma vie. Enfin, reprendre le cours d’une autre vie, j’avais connu Luc à la fac et je ne ...