Souvenirs, souvenirs, ...
Datte: 27/07/2017,
Catégories:
hh,
hhh,
jeunes,
inconnu,
Masturbation
intermast,
facial,
Oral
69,
préservati,
double,
hdanus,
hsodo,
... ses pensées, une cigarette se consumant dans sa main. Il était vraiment craquant. Je laissai de côté l’album, je penchai la tête et je fermai les yeux. Je tentai de me remémorer comment nous avions rencontré Grégoire, et les événements qui s’en suivirent. … Luc et moi devions aller à un zinzin, une soirée d’étudiants, à la boîte du campus de l’université de Lille 1, cela s’appelait du même nom que le lieu-dit : les 4 cantons. Quand nous sommes arrivés, la fête battait son plein à l’étage. Des hordes d’étudiants étaient vautrés sur les canapés, les tables étaient encombrées de bouteilles et de verres. Tous parlaient fort car la musique, identique à celle du rez-de-chaussée, le dance floor, était assourdissante. Par-ci, par-là, des couples (hétérosexuels) étaient enlacés et s’embrassaient à pleine bouche. D’autres dansaient sur les rythmes de Claude François et sur la New Wave, dépassée par la house qui venait d’exploser. Nous retrouvâmes des amis de notre amphithéâtre avec qui nous avions rendez-vous. Nous avons passé une partie de la soirée à rire, à boire, à danser, à nous amuser. J’aimais bien cette ambiance où les études et les petits soucis quotidiens étaient loin. Tous connaissaient notre relation, à Luc et à moi. Je me payai même le luxe de l’embrasser à pleine bouche devant tout le monde. Un petit moment de bonheur… Vers la fin de la nuit, il ne restait plus grand monde, et le patron décida de fermer l’étage. Nous dûmes descendre au rez-de-chaussée pour grossir les ...
... rangs clairsemés des fêtards qui continuaient à boire et à se trémousser sur la piste de danse. En bas, une chaleur moite composée d’alcool, de fumée et de sueur assaillit nos narines. Nous nous écroulâmes dans un des box qui était vide, près de la piste. Alors que Luc discutait avec une de nos copines de l’opportunité de sortir ou non avec l’un alors qu’elle couchait avec un autre, fourbu et complètement déconnecté de cette conversation palpitante, je promenais mon regard parmi la douzaine de danseurs sur la piste. Je ne m’attardais pas sur une personne en particulier, l’esprit un peu embrumé. Quand je le vis. Un garçon, assez petit, brun, à peine la vingtaine d’après ce que je pouvais en juger, se déchaînait sur la piste. Son corps suivait en cadence les rythmes électroniques tonitruants, et malgré les lumières colorées tamisées et changeantes, je pouvais voir ses muscles jouer sous son tee-shirt mouillé qui lui collait à la peau. Son pantalon moulant mettait bien en valeur ses formes. Je le regardai évoluer avec la souplesse d’un chat et j’étais particulièrement fasciné par ses déhanchements parfois très lascifs. Je ne pus m’empêcher de penser qu’il avait des jolies fesses rebondies et je sentis un trouble monter de mon bas-ventre. Je fus comme hypnotisé par son corps de liane qui évoluait sur l’un des petits podiums disposés à deux coins de la piste. Il semblait être habité par la musique et son corps tout entier vibrait, reflétant toutes les nuances des sonorités déversées ...