Souvenirs, souvenirs, ...
Datte: 27/07/2017,
Catégories:
hh,
hhh,
jeunes,
inconnu,
Masturbation
intermast,
facial,
Oral
69,
préservati,
double,
hdanus,
hsodo,
... connaissais pas celle d’un célibataire qui n’était plus étudiant. J’avais déjà deux ou trois amis à rappeler, une facture à payer, le formulaire des HLM à renvoyer (une bizarrerie me permettait de bénéficier d’un HLM bien que mon salaire actuel crevait tous leurs plafonds). Je dressai mentalement la liste des meubles complémentaires indispensables et aussi quelques décorations pour remplacer celles prises par Luc. Après un après-midi passé dans les magasins et à monter deux meubles, je pus enfin redonner un semblant de personnalité à mon appartement, le mien pour quelques mois en tous cas. Parmi les livres et les cassettes vidéo que je comptais mettre dans la nouvelle bibliothèque, je tombai sur notre album photo. Je le mis de côté et je continuai ma tâche. Il était relativement tard et le programme télé ne me disait rien. Je mis une musique de film, et je préparai un festin : un steak saignant avec des pâtes fraîches, une sauce tomate au basilic faite par mes soins, le tout accompagné d’un verre ou deux de Chianti. Une boule de vanille termina mon repas. La nouvelle table de salon débarrassée, je me mis à l’aise, en caleçon sous la robe de chambre que m’avait offert Luc pour mon anniversaire. J’avais du mal à le désigner par le terme de « ex ». Je me servis un troisième verre de Chianti et j’ouvris l’album de photos. Sur la première photo, on nous voyait tous les deux, enlacés et souriants. C’était la mère de Luc qui avait pris la photo. J’ai grossi, c’est évident. Je ...
... devrais refaire du sport. Je me souvins des premiers moments de notre relation. Outre la complicité évidente, nous avions un appétit sexuel débordant, une soif de l’un et de l’autre. Nous avions instauré, au début, un petit rituel : la pipe du midi. Dans les toilettes, dans une salle vide, dans sa voiture, nous prodiguions une gâterie, chacun notre tour. Nous séchions quelques cours à faire l’amour dans ma chambre ou chez lui. Mon sexe s’excita à cette pensée. Parfois, si une envie nous prenait, nous nous absentions quelques instants. Une fois même, je l’ai sucé dans l’amphithéâtre pendant qu’un prof faisait son cours. Nous nous entendions bien. Le seul regret était qu’il ne voulait pas être sodomisé. Moi, je n’étais pas exclusif et j’aimais pouvoir donner et recevoir du plaisir aussi de cette manière-là. J’avais essayé de le pénétrer mais il était tellement crispé que seul un doigt avait réussi à entrer. Il n’avait jamais voulu recommencer. Je parcourais les photos, chacune me rappelant un souvenir heureux d’un lieu, d’une époque, d’un moment, des amis aussi … Je me resservis un verre de chianti. Je m’arrêtai sur l’une d’elles. Grégoire. Je me souvins exactement des circonstances où je l’avais prise. Nous venions de nous lever tous les trois, au petit matin, après une nuit passée à faire l’amour. C’était la première fois que nous avions un autre partenaire. Grégoire était un petit brun, très sympa, ouvert, bien foutu et, sur la photo, j’avais réussi à capter son regard perdu dans ...