Un rêve ou la réalité ?
Datte: 27/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
... lorsqu’Agnès s’agenouille devant moi et prend ma verge en main. Elle la manipule comme une chose précieuse et l’explore jusqu’aux bourses qu’elle enveloppe dans sa paume. Puis elle ouvre la bouche. Son regard croise le mien. Si elle n’avait déjà la bouche pleine de mon gland, je dirais qu’elle esquisse un sourire. Elle commence alors un cérémonial, mainte fois répété, qui transforme ma queue en une tige grasse de sa salive, mon gland rouge d’excitation, mes couilles gonflées comme des barriques bien pleines. Je résiste au mieux. Normalement, elle sent que je vais venir et se retire à ce moment-là. Je résiste encore, voulant la pousser dans ses retranchements et la rendre gourmande de ma belle bite. Je pousse sa tête pour qu’elle me gobe encore plus. C’est plus dur pour elle. Je vois bien qu’elle a du mal, mais elle ne proteste pas et si ses yeux qui me regardent montrent des larmes, je n’y vois aucun reproche.Je me dis que c’est peut-être le moment de faire… Je relâche la pression. Elle reprend son souffle. — Tu connais mon récit « La croisière s’ennuie », avec une passagère qui fait une pipe au masseur ?Elle bat les paupières. Le « oui » est humide comme un gargouillis de salive. Je me dis qu’elle ne va pas… Mais si. Elle se lève et s’allongeant sur le bureau, elle me lance : — Tu cherches à me déstabiliser. Mais je ne céderai pas… Je vais gagner.Le bureau est étroit et c’est parfait. Allongée sur le dos, la tête dans le vide, les jambes pendantes elle attend. J’hésite. ...
... Ai-je le droit ? Mais son regard me provoque, me défie.Je me lève, je fais les deux pas qui m’amènent vers elle. Déjà, elle ouvre la bouche. Son visage est luisant de sueur. Je m’aperçois que pour lui proposer ma queue, je dois quasiment la surplomber et qu’il me faut pousser sur mon mandrin afin que le gland pointe vers le bas, vers sa bouche. Une pensée fugace me fait réaliser que c’est une chose que je n’aurais pas pu faire dans ma jeunesse, car je bandais si fort et ma bite, plaquée contre mon ventre, n’aurait pas eu la souplesse que demande cette position. De toute façon à cette époque, voilà une idée qui m’était totalement inconnue.Ma queue avance, impatiente de faire enfin ce que j’ai tant décrit et qui me semble le summum de la fellation. Je me glisse dans cette grotte qui me semble soudain sans fond. De mes mains plaquées sous sa tête, je guide ma femme pour que le chemin de sa gorge me soit offert. Ce n’est pas si facile. Dans mes récits, l’homme est souvent tellement excité et maître de la femelle, qu’il se pousse tout de suite à fond, jusqu’à ce que ses couilles se frottent au nez de la femme qui n’a plus alors que le petit trou de l’homme comme horizon.C’est ma femme, je ne l’oublie pas. Ma femme, même si en quelques minutes, nos échanges me semblent avoir changé notre horizon.Prudemment je m’avance. Lorsque je me retire, la laissant reprendre sous souffle, c’est, comme je l’ai vu dans des vidéos pornos, des filets et des voiles de salive qui se répandent sur son ...