Un rêve ou la réalité ?
Datte: 27/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
... visage. Sa gorge est maintenant un gouffre gras et humide.Voilà… Je suis à fond… Mes couilles sentent le souffle de ma femme que le nez expire. Elle bouge… Suffoque… Je me retire… Dans ses yeux, des larmes viennent s’ajouter aux traces de salive… Mais je suis si excité que j’y retourne… Je la baise, déclenchant le bruit infâme de ma bite qui brasse la salive… C’est bon… Très bon… Bon comme un fantasme qui se réalise parfaitement, avec tout ce qu’on a rêvé. Une seconde, je redeviens raisonnable et enlève mon mandrin. Quelques secondes où je me dis que c’est trop, qu’elle va se relever, que je lui en demande trop. Mais non… À travers un voile humide, elle me regarde… Elle me défie… Elle ne bouge pas… Elle ferme la bouche et dans un mouvement de glotte, elle avale sa salive… Mais elle ouvre la bouche à nouveau… Elle est têtue, volontaire. Je la reconnais bien là. À moins que comme moi, elle se laisse emporter par le vice…Ses lèvres se referment sur ma hampe. Je la bourre, deux-trois coups, et je sens que ma jouissance arrive. Je me retire un peu afin que seul mon gland soit prisonnier.Je me libère. Mon jus doit jaillir avec v******e, mais les lèvres forment un anneau étanche. Trois, quatre giclées. Mes couilles sont pleines de mon rêve et de ce que je vis vraiment.Je sens une langue qui m’essuie.Je me retire. Lentement, lentement. Les lèvres se referment.Oh ce regard ! Elle croise le mien, mais aussi va vers ma bite comme pour vérifier que le reflux est amorcé. Elle relève un ...
... peu la tête. Et puis, cette déglutition qui libère sa gorge. Déglutition que la position rend abjecte. Je vois la glotte bouger. J’imagine mon foutre entraîné, plonger dans les abîmes. Une dernière fois encore, puis elle me sourit. L’étanchéité n’est pas parfaite. De ma crème a suinté aux commissures de ses lèvres.Elle tourne la tête pour regarder ma bite. Elle a rempli, et avec quel bio, sa part du marché. Mais je ne lui laisse pas le temps de vérifier, qui de nous deux a gagné le pari. Je fais le tour de mon bureau. Son pubis est là. Je repousse les jambes. Je me glisse entre elles. Je passe les mains sous les fesses. Ma queue est horizontale. Tendue comme jamais.Tu vas perdre ma chérie, pensé-je. Peut-être en temps normal, je n’aurais pas pu, mais ici, sur ce bureau, après tout ce que tu m’as dit, presque avoué avoir été troublée par mes scénarios, même pas choquée de ce que tu as lu sur mon ordi, acceptant de parier en toute connaissance de cause, acceptant cette fellation si chargée de sous-entendus, avaler mon foutre sans rechigner… Oui… Je bande encore… Et d’une érection qui…Ma bite se glisse entre les deux vagues des petites lèvres. Elle écarte les chairs. Elle entre, avance, encore lubrifiée de salive. J’aurais aimé avoir une grosse bite comme celles des amants noirs que l’on peut voir dans les vidéos « multiraciales ». Une queue sombre, veinée, longue, large qui déclenche des cris de plaisir de ces femmes presque systématiquement présentées comme des vicieuses, des ...