1. Un rêve ou la réalité ?


    Datte: 27/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    ... salopes, des nymphos ou bien obéissant aux ordres d’un mari bienveillant qui regarde et parfois vient goûter vicieusement à la dureté du dard et du jus qui coule de la fente largement honorée par ce monstre de chair.Mais si ce n’est que moi, au moins je peux faire sentir à Agnès qu’elle se trompe. Je lui donne quelques vigoureux coups de bite pour qu’elle me sente bien. Je crois que je suis encore plus raide… « N’est-ce pas, ma chérie… »Je me penche sur elle. Tout en lui faisant bien sentir mon dard, je questionne : — Alors ! Qui avait raison ? — Toi… Je reconnais…Je la regarde. Son visage est un champ de bataille. De la salive a même coulé sur son front et souillé ses cheveux. Elle a du mal à ouvrir les yeux, ses paupières devant repousser des filets gluants. — Ne me regarde pas, je dois être affreuse. — Non, au contraire tu es très belle.J’att**** cependant un kleenex d’une boîte qui traîne sur le bureau pour dégager ses yeux. — Merci.Je ne mens pas en disant qu’elle est belle. Je la trouve belle même si toutes ces coulures pouvaient être qualifiées d’infâmes, d’abjectes ou d’avilissantes par un étranger. Mais moi, j’y vois mon œuvre, une œuvre partagée par ma femme.Je ne suis pas un sentimental, mais spontanément, je dis en me penchant pour effleurer ses lèvres : — Je t’aime.Le baiser est léger. Ses lèvres sont humides. — Moi aussi, je t’aime, mon chéri.Elle m’attire à elle. Cette fois-ci le baiser est plus profond. Sa langue me cherche. Je ne peux m’empêcher de penser ...
    ... qu’il y a seulement une minute, sa langue brassait mon foutre ; d’ailleurs je sens ce goût particulier. C’est donc ça ! C’est vraiment différent de ce que j’ai déjà… Oui une fois, emporté par mes écrits où j’aime que le foutre soit dégusté par la femme, même plus rarement par le mari soumis, j’avais goûté au mien après une branlette vite menée. Le goût était différent. Impossible aussi à comparer à des pratiques entre adolescents où Rémy et moi, face à face, nous nous branlions pour tester ces premières érections.Tout en échangeant ce baiser où je place une perversité excitante, je continue de bouger dans le fourreau d’Agnès.Mais il faut savoir ne pas brusquer les choses. Déjà nous avons… C’est beaucoup…Même dans mes histoires, je cherche à rester réaliste. J’essaie d’éviter la femme sage, réservée, qui se transforme en bombe du sexe, baise avec qui le veut bien, ne met pas de capote, pompe, avale avec le vice le plus absolu, se fait enfiler, enculer, finit entre trois hommes.Alors ici, avec Agnès, dans la vraie vie, il faut savoir raison garder ou, pour le moins, savoir ne pas pousser le bouchon trop loin au risque de le perdre… — J’ai gagné, mais je ne vais pas mettre ma menace à exécution. — Ta menace ? Moi je n’avais pas pris cela comme une menace. De toute façon j’ai perdu, j’ai perdu, j’assume. — Chérie, voyons, tu ne te rends pas compte ! — Donc tu te dégonfles. C’est bien la meilleure. Toi avec tes récits… — Mais non, je… C’est… — Voilà tu redeviens comme avant. Chéri, ...