Le cadeau d'un père...
Datte: 07/08/2018,
Catégories:
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... murmuré, ça en valait la peine, non ? J’ai émergé de l’oreiller dans lequel ma tête était enfouie. — J’aurais jamais cru ça… On a pris son pied, hein ?— Moi, oui ! Je t’ai pas fait trop mal ?— Un peu, au début, mais après ça m’a plu… On va se rafraîchir un peu, et puis on passe à la seconde partie du programme…— Euh… T’as envie maintenant ? Moi j’ai plutôt envie de dormir…— Merde, quoi ! Tu m’as bourré et quand c’est ton tour tu te défiles !— Bof, on aura encore l’occasion quand on sera au village, avec José… Je viendrai dans ton pieu et je te supplierai de m’enfiler…— Oui, t’as peut-être raison… On profitera mieux là-bas… Ok, on va dormir, comme ça on sera en forme pour demain… Et tu sais quoi, fiston ? On s’est nettoyés et on s’est mis au lit. Pour rire, on s’est embrassés, avec la langue et tout, et on s’est couchés en chien de fusil, moi derrière lui, la main sur sa hanche, et le lendemain matin je me suis réveillé en tenant sa queue dans ma main, alors que lui dormait toujours… Tu as peut-être déjà extrapolé sur la suite de l’histoire : on a retrouvé José au village, ainsi que les filles qui, entre parenthèses, étaient aussi farouches que celles de la ville, et jamais André n’est venu me rejoindre dans mon lit. Je ne le lui ai pas demandé non plus, je l’avoue… Plus jamais nous n’avons reparlé de ce qui s’était passé cette nuit-là. *** La vie a suivi son cours. J’ai trouvé du boulot dans une banque, André est allé rejoindre un de ses frères au Canada. Il est revenu ...
... quelques années plus tard, marié à une Canadienne prénommée Odette, une grande et belle fille qui rêvait du Vieux Continent. Moi aussi je m’étais marié, à Sophie, une belle plante chaude comme la braise, belge mais au physique brésilien… Oui, c’est de ta mère que je parle ! C’est elle qui m’a donné deux beaux enfants, toi-même et ta sœur. Mais je m’étais marié trop jeune, et j’avais encore envie de courir le guilledou ! Je ne dois pas être spécialement fier de ce que je vais te raconter maintenant, mais c’est nécessaire pour que tu comprennes toute mon histoire. J’ai toujours eu une propension particulière à draguer les femmes des copains. Tu sais, les amis, ce sont les personnes que l’on voit le plus souvent, et on finit par bien connaître l’histoire de leur couple, avec ses bons et ses mauvais moments. Il y a donc toujours un instant privilégié, celui où la femme ne sait plus très bien où elle en est, soit parce qu’elle a des doutes sur la fidélité de son mari, soit parce qu’elle se demande si elle est encore désirable. Il faut sentir ces moments-là… C’est alors que le copain – moi en l’occurrence – est là pour lui prêter une épaule secourable, pour écouter ses petites misères, pour lui faire comprendre qu’elle peut faire tourner la tête de beaucoup d’hommes, et en particulier la mienne, et blablabla et blablabla… Comme on connaît les horaires du mari ainsi que les disponibilités de la femme, il n’est jamais difficile d’être là au bon moment ! Et, ce qui ajoute un piquant ...