Le cadeau d'un père...
Datte: 07/08/2018,
Catégories:
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... m’ont demandé d’être le parrain du petit Marc, ce que j’ai évidemment accepté. J’ajouterai que je n’ai plus eu de relations intimes avec Odette après notre nuit de débauche à Anvers. Nos couples continuaient à se fréquenter comme par le passé, sans que quiconque reparle de notre escapade. Le petit Marc, malheureusement, était atteint d’une maladie dont j’ai oublié le nom et qui risquait de lui être fatale à court terme. En effet, à l’âge de trois ans il a rejoint le Paradis, après avoir lutté courageusement pendant sa trop courte existence. Odette et André ont essayé de concevoir un autre enfant mais, en dépit de leurs efforts, ils n’y sont pas parvenus. Ils ont donc décidé de se faire examiner pour savoir où se situait le problème. Les examens ont déterminé qu’Odette ne présentait aucun problème l’empêchant d’être mère, mais ils ont démontré aussi que, sans aucun doute possible, André était stérile ! Il s’en est suivi une discussion orageuse au sein de leur couple, et André a fini par faire le rapprochement entre la nuit où Odette et moi étions allés « danser » et la date de naissance du petit Marc… Oui, mon garçon, tu as eu un demi-frère pendant trois ans ! Odette n’a rien pu faire d’autre que d’avouer qu’elle et moi avions eu des relations charnelles lors de notre folle équipée… J’ai appris son aveu au milieu de la nuit, quand André est venu sonner avec insistance à notre porte. Il devait être trois heures du matin. Sophie est allée répondre à l’ouvre-porte et m’a ...
... dit qu’André voulait absolument me parler. Craignant un problème grave et urgent, et sans me douter un seul instant du but réel de sa visite, je l’ai invité à monter. Aussitôt la porte de l’appartement ouverte, il s’est jeté sur moi et m’a flanqué un terrible coup de poing. J’ai trébuché jusque dans le salon, puis je suis tombé à la renverse et ma tête a cogné le bas du meuble à alcools. J’ai perdu connaissance. J’ai appris plus tard que, pendant que j’étais évanoui, André avait raconté toute l’histoire à Sophie et que celle-ci (paix à son âme !), folle de rage, s’était jetée sur André, non pour le punir de m’avoir frappé, mais pour se venger d’Odette et de moi, et que la meilleure façon serait de baiser ensemble, de préférence sous mes yeux ! Ils ont donc attendu que j’émerge de mon évanouissement pour se livrer, à quelques pas de moi, sur le tapis du salon, à une séance de baise qui hante encore ma mémoire ! Elle s’est donnée furieusement, et lui l’a prise avec sauvagerie. Leurs ahanements, leurs grognements faisaient penser à un viol, mais je n’aurais pu dire qui violait l’autre… J’ai voulu me relever et intervenir mais André m’a repoussé du pied avec violence, m’ordonnant de ne pas bouger si je ne voulais pas qu’il m’assomme de nouveau. Je suis resté coi. À vrai dire, leur fornication avait quelque chose de majestueux dans sa bestialité, et puis ta mère était toujours si belle lorsqu’elle faisait l’amour, qu’elle prenait son plaisir… C’étaient les mains d’André qui lui ...